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 LINCOLN&JULIA • i hate you, fucking bastard.

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K. Julia Phillips
    julia • i'm a bad bad girl, i'd kiss that boy again.

K. Julia Phillips


- NICKNAME; : REMEMBERhope.
- CREDITS; : mymz • .dixiPEARL • emonet • lillypauline.
- PLAYLIST; : YOU'VE GOT THE LOVE, florence + the machine.
LINCOLN&JULIA • i hate you, fucking bastard. 207wdg7
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- YOU'RE ONE OF US UNTIL; : 16/06/2010

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- QUOTE ;: T’es littéralement trop con pour qu’on t’insulte ! © Very Bad Trip
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MessageSujet: LINCOLN&JULIA • i hate you, fucking bastard.   LINCOLN&JULIA • i hate you, fucking bastard. EmptySam 19 Juin - 11:54

« KENNEDY !!!! Je viendrai plus jamais chez toi, je déteste les gamins de ta rue... ils sont vraiment chiants à faire des bataille d'eau !! fuck ! » J'aime pas mon premier prénom, elle l'utilise surtout quand elle veut que je l'écoute et on ne peut pas dire que j'le fais vraiment souvent. Enfin si, je l'écoute, c'ma meilleure amie alors oui je l'écoute, mais parfois j'l'écoute sans vraiment écouter ce qu'elle m'a dit. Disons qu'elle parle beaucoup plus que moi, alors parfois j'ai pas réellement le besoin de parler. « Pourquoi tu cries ? C'est que de l'eau, ça sèche. » J'ai mal à la tête, j'aime pas quand elle crie, elle a la voix trop aiguë quand elle hurle. « Tu veux vraiment que j'aille prendre de l'eau du robinet et que je te la foute sur la gueule ? » Non merci, je pense que je vais tenir le coup si elle s'abstient de faire une connerie de ce genre. « Tu fais ça, je te tue, vraiment. Et je dis à tous les mecs du quartier que t'es lesbienne. » J'sais pas d'où j'sors ça, mais j'suis capable de le faire et elle le sait très bien. « T'en es capable, c'est ça le pire. » J'lui fais un grand sourire, elle sait très bien que c'est pour la faire chier et ça marche. Elle ouvre la bouche, j'la coupe avant qu'elle parle. « Non, par pitié, dis rien. J'veux pas savoir c'que tu comptes lui faire... je te souhaite bien du courage, pour l'avoir sur le dos TOUTE LA SOIRÉE. » Elle me tape derrière la tête, fuck, mes neurones. Faudrait sérieusement qu'elle arrête de prendre sa défense... parce que merde, ce mec est chiant, con, emmerdeur et merde il fait vraiment chier. J'me demande vraiment comment elle fait pour l'avoir dans la tête depuis tant de temps. Sérieusement, j'comprends pas. En plus il s'envoie en l'air avec tout ce qui bouge, il est grave ce mec. On dirait qu'il est en manque tout le temps. J'pourrais pas me le supporter plus de vingt-quatre heures non stop, je me pendrais quelque part pour plus voir sa gueule. « Ton problème Julia c'est que tu veux pas changer ton avis sur lui, t'es trop têtue et toi aussi t'es chiante, mais regarde-moi... Je te supporte bien depuis vachement longtemps. » Quoi ? D'où elle me compare avec ce débile congénital ? Fuck, on me compare pas avec ce trisomique. Non, mais putain. J'me lève et j'sors de ma chambre. J'trouve toujours qu'avoir des parents absents, c'est bien. J'peux vraiment faire ce que je veux dans cette maison... j'pourrais même la foutre à feu et à sang si l'envie me venait... mais je le ferais pas. Ce serait pas cool pour la maison. Bref. J'vais dans la cuisine et mon téléphone vibre dans ma poche, c'est Kaeden. Qu'est-ce que je fais aujourd'hui ? J'vais aller dire à l'autre con que s'il fait du mal à ma meilleure amie, j'suis capable de lui faire bouffer ses boyaux.

Je passe rapidement au journal, je dis bonjour aux gens que je connais et j'vais dans le bureau de la fille à qui je donne mes photos. Je l'aime bien, elle est un peu tarée sur les bords – pire que moi en tout cas –, mais elle est plutôt drôle et elle a du goût. J'sors de son bureau et j'm'arrête au distributeur, parce que je meurs de faim. Je prends un café et un kit & kat. Je sais, la pub c'est mal. J'sors du bâtiment avec ma bouffe et ma boisson, puis je repars dans ma voiture. J'mets la musique et j'roule jusqu'à l'appartement de Lincoln. Je préfère le prévenir, j'veux pas qu'il soit surpris si je le castre ou si j'le poignarde. J'veux dire, ma meilleure amie c'est une des personnes les plus importantes de ma vie, le premier ou la première qui lui fait du mal, c'est obligatoire j'le tue. J'ai déjà giflé certains de ses exs, certains mecs qui la faisaient chier, parce qu'elle a moins de cran que moi. J'suis capable de faire des trucs qu'elle oserait pas vraiment faire. Contrairement à moi, elle arrive à rester calme. Moi si on cherche, j'm'énerve vite. C'est pour ça que Lincoln doit prendre vachement de plaisir à me voir réagir au quart de tour aux conneries qu'il me sort. Je le supporte pas, j'ai jamais compris pourquoi il a commencé à me faire chier, surement une de ses envies de vieilles de merde. Si au moins, il avait une bonne raison, j'comprendrais, mais il n'en a pas. Aucune. J'veux dire si c'est seulement pour me faire chier, qu'il aille se faire foutre et ça lui ferait plaisir d'aller se faire foutre de toute façon. Mais merde, pourquoi je l'ai revu hier ? J'ai vraiment la poisse. J'arrive devant chez lui et j'suis entrain de me dire que c'était pas une bonne idée de venir le voir, mais j'm'en tape. J'adore les mauvaises idées. J'finis mon café et j'descends de ma voiture. J'monte les escaliers et j'm'arrête devant la porte de chez lui. J'attends deux secondes et j'frappe à la porte. J'm'accote contre le mur et j'attends... j'entends des bruits de pas venir de derrière la porte, j'bouge pas. S'il ouvre cette putain de porte en m'appelant Kenny, je le frappe. Il ouvre... putain, mais il pourrait pas porter plus de fringues ? Exhibitionniste de merde. Bon évidemment, il a une serviette autour de la taille, sinon j'crois que j'serais partie en courant. Mes pauvres yeux... si purs et si saints. Bon d'accord, ma gueule. « Ne crois pas que j'suis venue ici pour te faire un grand sourire faux-cul ou pour le plaisir, c'est juste pour te dire ce que je serais capable de te faire si tu touches à ma meilleure amie ce soir... okay ? »
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Lincoln Bowher-Tighs

Lincoln Bowher-Tighs


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MessageSujet: Re: LINCOLN&JULIA • i hate you, fucking bastard.   LINCOLN&JULIA • i hate you, fucking bastard. EmptyLun 21 Juin - 0:16

Il est tôt, ou tard, je sais pas. J’émerge à peine de ma… sieste ? Ouais bon faut dire que j’suis pas rentré super tôt la nuit dernière. Liam était quelque part, je sais pas où, mais j’me souviens qu’il sentait l’alcool à plein nez, alors il devait sortir du bar. On est rentrés à peu près en même temps, sauf que là j’suis sûr qu’il s’est éclipsé quelque part pour tenter d’se trouver un job. J’sais pas ce que j’ferais sans le mien, c’est ça qui me permet de tenir le coup et de me garder complètement distrait. Distrait de tout ce qui se passe autour. Bref, j’m’étire difficilement, tentant de pas tomber de mon lit, parce que j’vais sûrement faire du bruit et la connasse qui habite en bas de chez moi va cogner le plancher avec son balai. C’te conne endommage le building et après elle va foutre la faute sur les autres. Je l’emmerde, qu’elle me s… Ouais bon, j’me lève. Ma tête tourne, j’ai bien fait de pas aller boire après le travail parce que j’serais tout simplement mort. J’aurais dormi pendant 2 jours. J’entends quelqu’un cogner à ma porte. J’me demande vraiment qui ça pourrait être. J’suis pas en état de parler ni de voir quelqu’un en ce moment. J’veux juste aller me préparer pour sortir. Ça peut paraître un peu parano mais j’aime pas rester dans cet appart trop longtemps quand j’suis seul. J’ai l’impression de tourner en rond et ça m’énerve plus qu’autre chose. quelqu’un cogne à la porte et j’m’y dirige. J’ai encore mes vêtements, mais en fait j’ai pas grand-chose. j’suis en camisole et en boxer. J’dors souvent en boxer seulement, mais j’trouve ça presqu’indécent d’aller ouvrir la porte juste comme ça. Qui plus est, je sais pas qui c’est et j’veux pas cause de crise cardiaque à qui que ce soit. « Salut… » C’est la fille qu’habite à quelques apparts du mien. Elle est canon, j’ai pas manqué de remarquer. Je sais pas trop si elle a un copain ou quoi que ce soit, mais c’pas moi qui me gênerais pour aller l’aborder. « Hey. » « J’me demandais si… Euh, enfin… » Elle parcoure mon corps de ses yeux, j’peux la voir faire. Un sourire naît au coin de mes lèvres et j’croise les bras, faisant exprès. « Si t’avais du lait. J’te rembourserai le paquet s’tu veux, mais là j’en ai pas, j’ai des invités qui viennent et j’ai pas eu le temps d’aller en acheter. » J’la fais entrer un instant, elle explore subtilement le dedans de l’appart. Elle tente peut-être de se faire des souvenirs pour la prochaine fois qu’elle viendra. « Ouais, sans problème. » J’vais dans la cuisine et prends le sac de lait, retourne vers elle et lui tends, tout sourire. « Merci, j’te revaudrai ça Linc ! » « De rien, Jen. À toute. » Elle rougit, baisse la tête et s’en retourne vers chez elle. Je penche la tête pour la regarder partir… Damn, elle a vraiment l’air d’être un bon coup. J’referme la porte et me dirige réellement vers la salle de bain, j’empoigne n’importe quel truc qui me tombe sous la main et m’enferme dedans. J’fais l’habituel et en sors rapidement. J’aime pas perdre mon temps, même si c’pour des trucs aussi importants.

J’regarde les vêtements que j’ai pris et m’rends compte que dans le fond, ils vont pas ensemble. J’peux pas m’permettre de sortir n’importe comment dans la rue non plus, alors j’ouvre la porte de mon armoire et m’cherche des trucs à mettre. Ma serviette enroulée autour de ma taille et mes cheveux encore mouillés, j’finis par laisser tomber ma quête de vêtements pour aller dans la cuisine, tenter de voir si Liam a pas tout bouffé. J’ouvre le frigo, j’suis déçu… Reste rien, va falloir que j’sorte et que j’aille m’acheter des trucs. Y’a que des restes de trucs que j’ai pas envie de chauffer. Et j’préfère le frais, alors… Étonnement, aujourd’hui j’ai l’air d’être plutôt populaire parce que y’a encore quelqu’un qui toque à ma porte. J’espère que c’pas Liam qu’a oublié ses clefs – pour la millième fois – ou Jen qui revient, parce que dans cet état-là, j’risque vraiment de faire de vilaines choses. J’soupire et marche vers la porte d’entrée de l’appart que j’ouvre direct. J’tombe sur quelqu’un que j’aurais jamais cru voir. Du moins, pas ici… « Ne crois pas que j'suis venue ici pour te faire un grand sourire faux-cul ou pour le plaisir, c'est juste pour te dire ce que je serais capable de te faire si tu touches à ma meilleure amie ce soir... okay ? » J’ris et elle a vraiment une mauvaise mine. J’adore me moquer de Julia, elle peut pas savoir à quel point ça me fait marrer qu’elle réagisse au quart de tour à toutes les conneries qui sortent de ma bouche. Elle comprend pas que si j’fais ça c’est rien que parce que pour la provoquer que j’fais tout ça. Ça fonctionne chaque fois, et ça montre à quel point elle est dépendante. « J’savais que j’te manquais, Kenny. Mais à c’point-là ? J’peux pas croire que tu m’aies vraiment fait ‘l’honneur’ de venir jusqu’ici pour me dire ça. Tu sais que les portables existent ? » Elle va m’frapper, je le sens, mais je m’en tape. J’m’étire, j’suis en serviette et elle a pas l’air de flancher. Pas encore, j’vais la faire flancher, j’vais lui faire bien des choses, à Kennedy. « Alors tu entres qu’on puisse parler de nos vies respectives et se dire à quel point on s’ennuie l’un de l’autre ou tu restes devant ma porte pour que tout le building puisse entendre ce que t’as à me dire ? » Dis-je, sourire accroché aux lèvres. J’peux pas m’empêcher de paraître comme un gros con et de faire exprès de sourire sans arrêt, parce que je sais qu’elle va m’envoyer paître et qu’encore une fois, je vais avoir réussi à la faire réagir.
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MessageSujet: Re: LINCOLN&JULIA • i hate you, fucking bastard.   LINCOLN&JULIA • i hate you, fucking bastard. EmptyLun 21 Juin - 21:10

S'il était moins con et moins chiant, je pourrais être attirée par lui. Le problème c'est qu'il me cherche tout le temps et je suis du genre à réagir impulsivement et beaucoup trop rapidement, alors je l'envoie vite se faire foutre. Je sais que ça l'amuse, mais fuck, je l'emmerde profondément. J'le déteste, j'peux pas le voir en peinture et il me le rend bien. Son sourire de con sur son visage m'énerve, il le sait : j'en suis sûre. J'ai envie de le gifler, comme à chaque fois que je le vois. Et puis, depuis quand les gens ouvrent avec seulement une serviette autour de la taille ? Mais fuck, j'me fous complètement qu'il porte que ça, il pourrait même courir à poil dans la rue, j'en aurais rien à foutre aussi. Je soupire, alors qu'il rigole à ma remarque. Rigole espèce de con, j'te déteste de toute façon. « J’savais que j’te manquais, Kenny. Mais à c’point-là ? J’peux pas croire que tu m’aies vraiment fait ‘l’honneur’ de venir jusqu’ici pour me dire ça. Tu sais que les portables existent ? » Depuis quand j'ai des idées aussi conne ? Non, mais parfois ma blondeur me fait des surprises. Mais alors lui, il est con et il n'a pas d'excuse. Venir chez lui, c'était une mauvaise idée. Et il va vraiment falloir qu'il arrête avec mon premier prénom à la con, parce que ça aussi ça me gonfle sérieusement. J'ai envie de le frapper, vraiment, mais je fais mon maximum pour me retenir. La dernière fois que je l'ai giflé c'était devant chez moi. Pour se venger, il m'a embrassé et il est reparti vers ses potes parce qu'ils l'avaient appelé. La fois d'avant, c'était au lycée et il m'avait embrassé dans le cou dans le couloir ce con, puis encore une fois il s'était cassé, en me disant des trucs complètement débiles. Mais j'ai pas envie qu'il recommence à jouer à ça avec moi, alors je me retiens. « Arrêtes de rêver, tu deviens pathétique. J'm'en fous complètement de toi, tu pourrais crever la bouche ouverte en gobant des moches que ça me ferait ni chaud ni froid. Mais j'suis pas venue pour te parler de ça. Et bordel, arrêtes avec mon premier prénom, ça commence à être lassant. » tête de nœud. Abruti. Connard. Enfoiré. J'ai tellement envie de lui envoyer des milliers d'insultes dans sa tête de con... mais je retiens, parce que je suis une fille très disciplinée. Bon c'est sûr que ce n'est pas grâce à l'éducation de mes parents, puisque je les voyais tous les 36 du mois donc... Mais bref, on va pas penser à ça maintenant. J'en aurais pour trop de temps à tout expliquer sur ma famille unie contre tous. Bien évidemment, on sent l'ironie dans mes paroles. Bref, pensons plutôt à l'autre trisomique qui est en face de moi et qui me fait déjà chier.

« Alors tu entres qu’on puisse parler de nos vies respectives et se dire à quel point on s’ennuie l’un de l’autre ou tu restes devant ma porte pour que tout le building puisse entendre ce que t’as à me dire ? » J'le regarde avec un air désespéré sur le visage et j'ai toujours envie de le gifler, parce qu'il a toujours ce sourire débile sur la gueule. Mais j'me retiens, enfin j'essaie, parce que nom de Dieu, c'est dur ! Comme si lui, il pouvait me manquer. Il pourrait être parti au Tibet pour apprendre le kung-fu que je m'en serais jamais rendu compte. Si j'pouvais l'égorger, j'le ferai. Vraiment. Mais j'peux pas, parce que Jamya serait triste et elle me ferait la gueule pendant des plombes. Je tiens trop à ma meilleure amie et j'veux pas qu'elle fasse la gueule à cause de ce trou du cul. « Non, je rentre pas, je vais rester dehors, connard. T'en as d'autres questions comme ça ou tu fais exprès ? » Nous ne sentons en aucun cas l'ironie dans mes paroles. Les questions débiles de ce genre, il pourrait éviter de les poser. Mais bon, c'est vrai que niveau logique et cerveau, faut pas lui en demander trop. Et oui, je sais, il fait exprès, enfin j'espère pour lui parce que sinon c'est que vraiment... rappelez-moi, comment je fais pour le supporter déjà ? J'veux dire ce mec est vraiment chiant. Il me laisse passer pour que je rentre. Je jette vite fait un coup d'œil dans son appart et je me retourne vers lui, il ferme la porte. Je pose ma main sur son torse et je le plaque contre la porte, j'suis folle, mais ça passera, un jour. « Bon écoute-moi bien, crétin : si tu fais du mal à ma meilleure amie, je te jure que je te castre. Ou alors, je ferai en sorte que tu ne puisses plus jamais t'en servir. Si tu la touches, je t'ouvre le ventre et je te fais bouffer tes boyaux par le cul. Ensuite je t'enlève ta peau et tes os, et je te tranche la gorge. Puis, je te découpe en pleins de petits morceaux et je te mets au four jusqu'à temps que tu crames. Pour finir : je te donnerai à bouffer au rat. Tu souffriras tellement que t'oseras plus jamais regarder personne en face. T'as compris ? » Je m'arrête. J'ai des problèmes mentaux je crois... au moins, il pourra pas me dire que j'l'avais pas prévenu. Et puis bon, je pense pas que j'irai jusque-là, mais j'ferai de sa vie un putain d'enfer s'il fait du mal à Jamya, mais vraiment. Je me suis toujours amusée à traumatiser les connards qui lui ont fait du mal et c'est pas ce con qui va me faire peur et qui va changer ça. Mais j'sais qu'il va se foutre de ma gueule, il se fout tout le temps de ma gueule. Il me fait chier, il le sait parfaitement. Il est arrogant, je le déteste. Je vais le tuer, pour de vrai.
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Lincoln Bowher-Tighs

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MessageSujet: Re: LINCOLN&JULIA • i hate you, fucking bastard.   LINCOLN&JULIA • i hate you, fucking bastard. EmptyMar 22 Juin - 11:02

J’devrais sérieusement me poser des questions sur pourquoi Kenny a pas plutôt utiliser un autre moyen pour me contacter. Elle aurait bien pu fouiller dans le portable de Jamy pour trouver mon numéro. Au lieu de ça, elle s’est donné tout ce mal… Ça me touche… pas vraiment, mais on s’en tape. J’adore la voir devenir presque rouge de rage et vouloir me gifler alors que je sais pertinemment qu’elle se retient. Elle sait même pas à quel point elle est chaude quand elle est fâchée. Genre la mine qu’elle a et ensuite quand elle change d’expression pour afficher une expression soit : exaspérée ou dégoûtée. Ça me donne de drôles de sensations, et c’est sûrement de là que je puise le courage de continuer de la faire suer. Je sais qu’elle va finir par me haïr pour de vrai un jour, mais vu que c’est pas encore gagné vu le temps qu’on s’est pas vus, bah j’ai encore beaucoup d’occasions. Je le sais, même si elle va sûrement tout fait pour m’éviter comme la peste. Bref, faudrait qu’elle se branche, la petite Kenny, parce que je peux pas vraiment tout faire et réfléchir pour nous deux. « Effectivement, j’te crois sur parole quand tu dis que tu t’en fous et que t’es encore là, devant ma porte, à faire sortir des mots de ta bouche pour dénigrer et me rappeler à quel point je te fais horreur. » Elle est vraiment blonde, parfois. J’ai envie de rajouter ça au fait que je l’appelle sans arrêt Kenny, sauf que j’me prendrai sûrement le plus gros vent qui ait jamais existé, en plus de tous les regards noirs venant d’elle auxquels j’ai droit depuis des années. « Je sais pas si tu sais mais un premier prénom est fait pour être utilisé aussi. » Réponse logique à un fait logique. J’ai un second prénom aussi, que je révèle pas parce que j’ai pas envie que les gens le sachent, mais avant tout j’utilise mon premier prénom, comme presque tout le monde que j’connais. Elle reste toujours là, devant le seuil de la porte alors j’la regarde, sourire en coin. J’ai hâte de voir comment notre discussion va tourner. Si j’me fie à son air, elle est venue me menacer, c’est certain, pour l’instant ça me dérange pas trop, elle a encore rien dit. J’veux entendre ses arguments et ensuite j’vais pouvoir voir si elle me connaît vraiment aussi bien qu’elle pourrait être entrain de prétendre le faire.

« Bah en fait j’avais prévu te laisser dehors pour pas que me tu me mates pendant que j’tente de m’habiller. J’veux pas qu’on me viole, j’tiens à ma dignité… » J’me pousse et la laisse entrer. Elle explore un peu, comme Jen l’a fait avant elle. J’la fais pas visiter, c’est pas un appart super luxueux, mais il est quand même bien garni à cause du salaire que je me fais. Une fois la porte fermée, elle s’arrête net et se retourne vers moi pour me pousser contre la porte. Elle est violente putain, et aux dernières nouvelles, je l’ai jamais touché de manière agressive. Ouais ok bon peut-être au lycée une fois, mais c’tait que contre les casiers et c’était pour bonne cause. Elle, pourquoi elle me fait ça là ? Chez moi en plus, je rêve ou quoi ? J’entends les châtiments qu’elle me réserve si je fais du mal à Jamya White, mais elle s’en fait pour rien. J’la toucherais presque pas pour la faire crever de désir et ensuite on verra ce qui va se donner. Jamy est intelligente, elle sait comment on fait quand on sort avec quelqu’un pour une date. Enfin, j’ose espérer. Ça me gênerait plus qu’autre chose si j’étais l’un d’ses seuls rencarts. Elle est foutrement canon, elle en mérite des tas… Pour en revenir à Kennedy, elle commence à me gonfler avec ses reproches à la con. « Non j’ai pas compris. T’oseras pas faire ces tous ces trucs, à moins que tu veuilles que Jamya te réduise en poussière par la suite, blondasse. » Je l’enlève de sur moi – enfin, la manière dont elle était placée – et je m’avance pour qu’elle recule. J’prends un autre air, ça a l’air de l’effrayer un peu, peut-être parce qu’elle s’y attendait pas… Elle a vraiment abusé j’trouve. J’comprends pas pourquoi c’est elle qui doit me dire tout ça. Jamy peut me faire le message clairement si elle est pas à l’aise bordel. J’prends le bras de Kenny et j’le fige en l’air, comme quand un adulte prend le poignet d’un enfant. « Comment t'oses venir chez moi et m'menacer ? J'fais c'que je veux ! J'peux clairement voir que tes parents ont oublié d'te dire qu'on doit généralement respecter les plus vieux que soi. Tu crois vraiment que j'en ai quelque chose à foutre de tes menaces de merde ? Tu m'prends pour qui Julia ? J'suis pas un petit crétin à qui tu peux faire peur seulement en t'arrangeant pour qu'il dégage. Si t'es insatisfaite dans ta vie de tous les jours c'pas mon fucking problème, mais viens pas tenter de gâcher celle de ta meilleure amie en l'empêchant de faire ses propres choix. » Peut-être que j’y ai été un peu fort… mais avec réflexion, non.

J’ai raison et elle le sait. Elle peut pas juste débarquer de nulle part et penser que parce qu’elle… Parce que quoi ? Rien du tout. Elle a pas le droit de se prendre pour qui que ce soit parce que c’est ridicule. Genre arrête elle est la reine et faut la respecter sans jamais broncher, je rêve ou quoi ? Oui au lycée elle faisait partie de notre liste de filles sexy qu’on se taperait, mais cette époque est révolue et faut qu’elle apprenne qu’elle avait beau pouvoir bousculer les gens à l’époque. Aujourd’hui ça fonctionne plus comme ça et j’compte bien la faire redescendre sur Terre.
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MessageSujet: Re: LINCOLN&JULIA • i hate you, fucking bastard.   LINCOLN&JULIA • i hate you, fucking bastard. EmptyMer 23 Juin - 0:27

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J'aurais dû rester au journal, ou j'sais pas... aller glander chez Kaeden. Au moins je suis sûre que je me serais pas énerver. Avec Bowher, je m'énerve tout le temps, c'est inévitable. Il n'a jamais rien fait pour que je l'apprécie, alors merde. Je vois pas pourquoi j'irai faire des efforts ou pourquoi j'irai par quatre chemins. Le pire c'est qu'un côté, il a pas tellement tort, mais jamais je l'avouerais à voix haute parce que... parce que je le hais. J'veux pas qu'il pense que je lui donne raison, parce qu'il serait trop fier de lui. J'veux pas qu'il soit fier de lui, j'veux pas qu'il pense que je suis d'accord avec lui. J'veux pas qu'il ait quelque chose de positif quand il pense à moi. Puis merde, pourquoi Cameron est pas doué ? Il aurait pu éviter de se faire mal au genou, comme ça j'aurais pas eu à reparler à ce mec. Ouais, bon, c'est pas vraiment de la faute à Cameron, mais même. Pourquoi il m'a reconnu, il m'a pas vu de face... fuck. Je déteste les mecs. Je devrais vraiment le gifler, mais... je devrais pas parce que sinon je sais qu'il va se venger, mais si ça part tout seul... non, faut pas que ça parte tout seul. Faut que je me contrôle. J'comprends même pas comment j'ai fait pour le supporter au lycée... Bon, je le supportais pas vraiment, en fait, je l'envoyais chier... « Effectivement, j’te crois sur parole quand tu dis que tu t’en fous et que t’es encore là, devant ma porte, à faire sortir des mots de ta bouche pour dénigrer et me rappeler à quel point je te fais horreur. » Pourquoi je me retiens de le gifler déjà ? Ah oui, parce que j'ai peur des représailles... Pf... de toute façon, qu'est-ce qu'il peut réellement me faire pour le faire regretter de l'avoir giflé ? En y réfléchissant bien, pas grand-chose. Et non, n'allons pas jusqu'à dire qu'il me fait horreur... bon c'pas tellement loin, mais c'pas tellement ça non plus. « T'as jamais rien fait pour que je t'apprécie je te rappelle... et ouais, je sais... je suis très agressive comme fille, surtout avec toi. Mais je suis sûre que tu t'y es habitué depuis le temps, pas vrai ? » je le regarde, j'ai raison. Il a vraiment rien fait pour que je m'entende bien avec lui. Je veux dire, on aurait peut-être pu bien s'entendre, mais dans ces circonstances, ça me paraît inconcevable. J'sais pas vraiment quelle expression exprimer en ce moment... Faut dire qu'avec lui en face et qui me fait chier tout le temps, c'est assez dur de trouver une bonne expression... « Je sais pas si tu sais mais un premier prénom est fait pour être utilisé aussi. » Mais fuck, et si j'ai pas envie de l'utiliser ? Qu'est-ce que ça peut bien te faire à toi ? Tu ne peux pas faire comme tout le monde et respecter mon choix ? Non, mais merde à la fin. Et puis Kennedy c'est pas beau, ça fait des surnoms à chier et j'aime pas c'est tout. « T'as qu'à faire comme si le mien n'existait pas. Et j'utilise celui que je veux, alors arrêtes de m'énerver avec ça... mais je sais que t'arrêteras pas, parce qu'apparemment ça t'amuse. » Fuck, fuck et encore fuck. Il aurait jamais du regarder South Park petit... non parce que le : Les enfoirés, ils ont encore tué Kenny, m'avait traumatisé quand j'étais petite... Oui, on me fait vite peur en fin de compte. Enfin, plus tellement aujourd'hui, sachant que j'ai vingt-trois ans. « Bah en fait j’avais prévu te laisser dehors pour pas que me tu me mates pendant que j’tente de m’habiller. J’veux pas qu’on me viole, j’tiens à ma dignité… » Je me tourne vers lui et j'explose de rire. « Tu rêves ! » J'm'arrête de rire, première fois qu'il me fait vraiment rire d'ailleurs.

Parfois, j'me demande comment je fais pour dire des trucs aussi... j'sais pas vraiment comment dire, mais c'est des trucs pour lesquels je mériterais bien de me faire interner avec des tas de psychopathes. Peut-être que je m'entendrais bien avec eux... ça se trouve, je serais dans mon élément... ou pas. « Non j’ai pas compris. T’oseras pas faire ces tous ces trucs, à moins que tu veuilles que Jamya te réduise en poussière par la suite, blondasse. » Tu sais ce qu'elle te dit la blondasse ? Abruti. D'où il insulte ma couleur de cheveux ? Toutes les blondes ne sont pas connes, ou alors pas totalement conne... « La blondasse elle te dit d'aller te faire mettre. Et non, je te ferais pas ça, j'me vois pas entrain de te faire cramer dans un four... ni t'enlever tes boyaux... ce serait... vraiment gore... » J'fais une grimace de dégout... Et j'secoue la tête pour revenir à la conversation. C'grave comment je peux m'embarquer dans des monologues bizarres parfois... Il me fait bouger et il avance vers moi, je recule. J'aime pas son regard... non, j'aime définitivement pas son regard. J'veux dire, c'est un regard assez flippant, mais qui l'est pas tellement... enfin un regard à la Lincoln Bowher-Tighs quoi. Il m'attrape le bras et le met en l'air, j'ai plus cinq ans je crois. « Comment t'oses venir chez moi et m'menacer ? J'fais c'que je veux ! J'peux clairement voir que tes parents ont oublié d'te dire qu'on doit généralement respecter les plus vieux que soi. Tu crois vraiment que j'en ai quelque chose à foutre de tes menaces de merde ? Tu m'prends pour qui Julia ? J'suis pas un petit crétin à qui tu peux faire peur seulement en t'arrangeant pour qu'il dégage. Si t'es insatisfaite dans ta vie de tous les jours c'pas mon fucking problème, mais viens pas tenter de gâcher celle de ta meilleure amie en l'empêchant de faire ses propres choix. » J'le fixe, je lui lance un regard noir. Je retire mon bras et j'ai envie de le gifler. Pour ne pas dire : encore. Bordel de merde, il se prend pour qui lui aussi ? « T'as que deux ans de plus que moi Lincoln, on peut pas vraiment dire que t'es plus vieux. Et me parle pas de mes parents, tu connais rien sur eux, ni sur ma vie. Et je sais que tu t'en tapes, mais j'm'en tape aussi que t'en ai rien à foutre. J'veux protéger ma meilleure amie, pas gâcher sa vie alors va te faire foutre. La différence entre elle et moi, c'est qu'elle est beaucoup plus naïve que moi et elle voit que le bon dans les gens, parfois trop. Et visiblement, j'suis la seule à être là pour la protéger. Je veux que son bonheur, même si d'après toi, ça ne se voit pas. Et puis merde, j'vois pas pourquoi je me justifierais à toi. T'es pas mieux que moi Lincoln, alors ouais j'te connais pas vraiment non plus, mais tu m'as jamais montré tes bons côtés. » Moi aussi je suis énervée. Il m'a encore une fois énervé. J'le déteste de m'énerver autant. C'est une des seules personnes qui y arrivent si bien. J'aime pas quand les gens – en général – me parlent de mes parents, je connais presque rien d'eux, parce qu'ils n'étaient jamais à la maison. J'avais une nourrice ou un truc dans le genre et quand j'ai eu seize ans, ils l'ont viré pensant que j'étais assez âgé pour me démerder toute seule. Alors c'pas lui qui va m'apprendre quelque chose. Je devrais avoir l'habitude pourtant, de m'en prendre plein la gueule avec lui. J'le fixe, je crois qu'on se défit du regard, en tout cas on est autant énerver l'un que l'autre – pour une fois –.
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MessageSujet: Re: LINCOLN&JULIA • i hate you, fucking bastard.   LINCOLN&JULIA • i hate you, fucking bastard. EmptyJeu 24 Juin - 0:17

Putain quoi mais je rêve qu’elle se pointe comme ça et qu’elle fasse ce qu’elle veut. Elle est chez moi, je l’ai même pas invitée, et même si j’ai rien contre le fait de la voir, là ça m’énerve plus qu’autre chose. Depuis le lycée je supporte toutes les conneries qu’elle me balance au visage sans qu’elle prenne le temps de se rendre compte que j’suis pas insensible et qu’à un certain point, ça me touche en quelque part. T’façon elle s’en fout. Tout ce qui compte c’est elle et la vision qu’elle a des choses. Faut jamais la contredire ou la décevoir sous peine de subir sa grande colère ou tristesse ou whatever the fuck she likes to do. J’sais pas vraiment ce qui me prend de pas la mettre à la porte à la seconde. Peut-être que j’trouverai ça rude, parce que contrairement à miss Phillips, j’prends en considération quelques trucs, même s’ils sont rares. J’comprends pas quel est son problème. Elle me reproche de jamais lui avoir montré de la sympathie, c’est surtout ne jamais lui avoir dit que dans le fond je l’appréciais bien. Elle a jamais compris et elle a jamais tenté de le faire. Elle s’est juste donné à cœur de joie de me haïr parce que je la faisais apparemment chier. L’appeler par son premier prénom c’pas la fin du monde, même si elle l’aime pas. Elle avait qu’à pas le sortir quand elle s’est présentée la première fois. Et dire que si un seul détail avait été différent on aurait pu être de vrais amis au lieu d’amis/connaissances/n’importe quoi. On est vraiment n’importe quoi, Kennedy et moi. Je sais même pas sur quel pied jongler avec elle parce qu’elle est trop dure à déchiffrer. Elle préfère jouer à la difficile au lieu de me donner de la simplicité. Tant pis pour elle, j’commence à en avoir marre. J’ai tout pris année après année et maintenant elle en rajoute encore une couche. On s’était pas vu pendant combien de temps déjà avant-hier ? Deux ans, deux. Premier truc qu’elle trouve à faire c’est m’envoyer chier pour sa meilleure amie. Dans le fond, elle est pas foutue d’avouer qu’elle est jalouse et c’est tout. « J’ai jamais rien fait ? Parce que ouais j’suis le grand méchant loup qui t’a direct fait chier le premier jour qu’on s’est rencontrés, n’est-ce pas ? » C’est le contraire. Même qu’à l’époque elle était canon et j’voulais me l’approprier sans que les autres la regardent de la manière que j’la voyais. Les autres c’était pour le sexe et pour le fait qu’ils auraient pu s’en vanter par la suite. Dans le fond, j’aurais peut-être fait la même chose, puis j’aurais tenté d’être plus, parce qu’elle en aurait sûrement valu la peine. « Le temps change rien, tu le sais. La preuve, tu me hais toujours autant alors qu’on s’est pas vu depuis un bail et tu viens me faire la morale – me chier dessus – le jour d’après nos ‘retrouvailles’. Pathétique… » J’me surprends à avoir tant raison, parce que je sais que dans le fond elle va finir par réaliser que c’est vrai. J’veux pas qu’elle pense qu’elle peut se faire la grosse tête parce que j’avoue qu’elle me fait chier à être aussi hautaine. J’tente juste de comprendre son comportement. J’pourrais tellement être pire et là, elle aurait réellement des raisons de pas pouvoir me supporter. Lui sortir des conneries dont elle se souviendrait parce qu’elle seraient particulièrement salaces, mais j’le fais pas, par respect. J’suis pas stupide non plus, j’aime pas m’mettre les gens à dos même si j’adore le fait qu’on m’adule ou qu’on me haïsse. Les gens que j’ai envie d’avoir près de moi le sont – ils sont rares, mais bon – et ceux dont j’me tape, ils peuvent me sucer, j’en ai rien à foutre.

« On s’en fout de ton premier ou deuxième prénom. Ça reste toi, j’vois pas où est le problème. » Là encore, j’marque un point. Elle agit comme si Kennedy et Julia c’était deux personnes bien distinctes, tandis que c’est faux. « Qui plus est, tu devrais savoir que les trucs entre mecs, ça m’intéresse pas. J’te dirai pas d’aller te faire mettre par une fille moi, un peu d’respect, ça te tuerait ? » Maintenant qu’elle est dans le coin et que j’tiens son bras. J’le lâche, mais elle reste coincée. J’aime avoir le pouvoir, et en ce moment ça me donne un tant soi peu d’adrénaline. J’sais pas, j’veux pas la laisser ‘gagner’, parce que d’habitude c’moi qui la own avec mes trucs. Elle peut pas juste me sortir des trucs et espérer s’en sortir sans aucunes conséquences ensuite. J’ai l’air de quoi moi après ? Un petit pédé soumis, voilà. « L’âge change que dalle, j’reste plus vieux. T’aurais pu avoir que deux jours de plus que moi, j’t’aurais considéré comme plus vieille. Toi et ta logique parfois, j’me demande comment vous faites pour vous entendre. Tu peux même pas t’avouer à toi-même que t’es jalouse du fait que ce soit avec elle que j’aie accepté de sortir. Tu dis qu’elle voit toujours le bon côté comme si j’en avais pas du tout. Le disant toi-même, tu devrais savoir non puisque tu t’es amusée à effacer mon bon côté envers toi durant toutes ces années ?! Puis j’suis peut-être pas mieux que toi, mais moi au moins j’assume mes actions et mes pensées. Contrairement à toi qui continues de croire que tout le monde va toujours se plier à ce que tu veux. T’es pas une princesse, Kennedy. T’en as jamais été une et t’en seras jamais une… » Je sais pas d’où c’est parti, mais ça s’est passé tellement vite que j’ai à peine eu le temps de le réaliser. Ma joue commence à me brûler et Julia a la main sur sa bouche, l’air surprise. « En plus t’es même pas capable de retenir tes pulsions. » Les secondes défilent trop vite, et j’me retrouve à m’approcher encore plus d’elle. Son rythme cardiaque a accéléré parce qu’elle a l’air stressée et surtout parce que j’la recouvre. J’compte pas la frapper ou quoi que ce soit, j’vais juste lui faire regretter. Tout… Absolument tout. Contrairement à elle, j’suis pas super habillé. Et en parlant de ça… J’devais sortir pour aller acheter des trucs pour… merde, la date de ce soir. J’verrai ça plus tard. Pour le moment, Kennedy Julia Phillips va comprendre qu’on peut pas jouer avec moi. J’suis énervé, elle m’a giflé et elle avait aucun droit, aucun ! J’prends ses bras et la traîne de manière brusque jusqu’à ma chambre. La porte est entre-ouverte alors je l’ouvre complètement et y fais entrer Julia. Je la pousse et elle tombe de dos sur mon lit. J’m’avance et me mets directement sur elle. Ses yeux m’envoient des lasers enflammés, mais je m’en tape. Elle dit rien, elle fait seulement gigoter pour tenter de se défaire de mon étreinte. Elle tente par tous les moyens de me faire chavirer, mais vu sa taille j’doute qu’elle y arrive.

J’bloque ses bras et descends ma main libre jusqu’à sa jupe. Je la détache et me relève légèrement pour la lui retirer complètement. Elle me gueule des trucs que j’prends pas la peine d’écouter et j’continue sur ma lancée. J’déboutonne sa chemise malgré elle et quand c’est fait, je passe mes mains sur ses cuisses, tentant de l’amadouer. Elle tente de me kicker mais j’esquive. J’ai qu’une putain de serviette, si elle veut qu’elle parte rapidement, pas de problème de mon côté. J’remets ses bras en l’air, les retenant avec mes mains. Je l’embrasse dans le cou et j’descends sur le haut de sa poitrine, continuant à descendre sur son ventre et arrivant juste avant l’endroit interdit. J’arrête et me relève de nouveau. Ce serait méchant de lui faire ça, mais elle le mérite. Y’a un sourire qui naît sur mes lèvres et j’me mords légèrement la lèvre inférieure. J’la relève et fais partir sa chemise. Elle est rendue en sous-vêtements, j’y suis presque. « Si tu voulais pas de moi, tu serais partie… » J’descends lentement sa petite culotte et je crois qu’à ce stade-ci, elle a juste abandonné le fait qu’elle pourrait se sauver. J’viens définitivement de gagner, parce que j’ai encore ma serviette, et qu’elle enlève elle-même son soutien-gorge. Je sais pas ce qui l’a poussé à changer d’avis, mais je vais aller dans la même direction qu’elle. J’finis par détacher ma fameuse serviette et je m’allonge sur elle. Ses jambes se placent autour de me taille et… « Si tu voulais pas de ça. » Le coup de grâce arrive quand je donne le premier coup de bassin. « Tu te serais pas retrouvée sur le pas de ma porte. » Je l’embrasse et pose mes mains sur ses jambes. J’tente de garder la cadence en faisant des vas-et-viens modérés… « Redis-moi que tu me hais, maintenant… »
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MessageSujet: Re: LINCOLN&JULIA • i hate you, fucking bastard.   LINCOLN&JULIA • i hate you, fucking bastard. EmptyJeu 24 Juin - 2:55

Il m'énerve, j'aurais jamais dû lui adresser la parole, ça aurait été largement plus simple. Je veux dire, ça m'aurait empêché de devoir m'engueuler avec lui à chaque fois que je le vois. Il est chiant, mais visiblement il ne le fait pas exprès ou alors il fait exprès de me dire que soi-disant c'est de ma faute. Bah ouais parce que c'est aussi de ma faute s'il y a des gens qui meurent du cancer. Non, mais merde, il me fait chier. Je me demande vraiment pourquoi je suis venue jusqu'ici. J'aurais jamais dû venir. Et j'aurais – peut-être – dû laisser Jamya se démerder toute seule, parce que je serais pas toujours là pour protéger ses arrières. Elle voit ses bons côtés, je vois les mauvais, au moins on se complète. Peut-être que si on argumentait la-dessus je perdrais, mais merde, qu'est-ce que j'en ai à foutre ? Je pense ce que je veux de lui et des gens en général. S'il est pas content, c'est pareil. Il pourra dire ce qu'il veut, j'm'en tape. Il pourrait me dire que je suis conne, ça m'atteindrait pas. « Tu sais quoi ? Vas-y, penses que c'est de ma faute. J'en ai complètement rien à foutre de ce que tu penses. Dis-moi tu comptes faire la victime encore longtemps ou t'as bientôt fini ? » On parie qu'il va me dire que c'est moi qui me fait passer pour la victime ou un truc dans le genre ? Parce que tout le monde le sait, tout est de MA faute, lui c'est un saint. Lui, il est sage, doux, calme et studieux. Bordel de merde, il se prend pour qui ? Alors ouais, il me fait chier, mais il le sait. Il sait que je le hais depuis longtemps. C'est surement pas aujourd'hui que ça va changer. Il pourra dire tout ce qu'il voudra sur moi, ça me touchera pas, parce que je commence à avoir l'habitude de m'en prendre plein la gueule avec lui. Peut-être que ça l'amuse finalement. Je ne sais pas, je comprends pas. Je préfère pas chercher d'ailleurs, je suis surement trop blonde... mais même ça m'intrigue. « Mais puisque t'es si parfait, tu vas peut-être pouvoir me dire pourquoi t'as commencé à m'emmerder au lycée ? Parce que ouais, ça doit être de ma faute, si on suit ta version, mais j'aimerais bien l'entendre. Pourvu qu'elle soit aussi parfaite que toi... » Faudrait qu'il ait une bonne raison, comme ça je pourrais le pousser à plus jamais m'adresser la parole et je serais tranquille. J'ai été tranquille pendant deux ans, deux putains d'années où il ne m'a pas fait chier. Mais apparemment on peut jamais rester tranquille bien longtemps, parce qu'il y aura toujours un Lincoln qui viendra tout chambouler pour vous gonfler. Par exemple : il ira on ne sait où, avec votre meilleure amie qui l'aime – dieu seul sait comment et pourquoi – depuis le lycée. Et votre meilleure amie en question vous en parlera jusqu'à l'heure et la minute précise du rendez-vous. Comme ça encore une fois, il peut venir empiéter sur votre vie. Génial non ? Moi aussi je trouve ça affreux. Ça donne même des envies de suicide parfois. Sérieusement, je le déteste en ce moment. Il m'énerve et il fait rien pour que ça s'arrange, c'est ça le pire je crois. Quoique non, avec lui on ne sait jamais quel est le pire. Sérieusement, j'ai envie de me casser parce que je vais être énervée toute la soirée après. « Mais tu fais exprès ou quoi ? J'aime pas mon premier prénom ! Okay ? Je ne l'aime pas. Tu veux peut-être répéter après moi ? Kennedy c'est moche, ça craint et ça pue. Alors, arrêtes avec ce prénom... Et tu sais très bien que j'ai pas dit ça dans ce sens-là. Et puis qu'est-ce qui te dit que ça me dérangerait ? » Non, je ne suis pas lesbienne. Mais moi aussi j'ai envie de le faire chier et de lui dire des trucs débiles.

Je suis coincée. Il est tout près de moi et je peux pas réellement faire un pas sans qu'il soit devant moi. J'aime pas ça. J'aime pas tout ce qu'il est entrain de me dire. Comme quoi – en gros – je suis conne, que je suis jalouse de Jamya, que j'assume pas ce que je dis et que j'ai « effacé son bon côté envers moi ». Mais... Merde. La gifle est partie. Fuck. J'pose la main sur ma bouche, j'savais que j'réussirais pas à me contrôler... merde. « Je t'emmerde. » Mes pulsions t'emmerdent. Chaque parcelle de mon cerveau, de ma peau et de moi-même t'emmerde Lincoln. Je te déteste. Pourquoi il est beaucoup plus grand que moi déjà ? Mon cœur bat plus vite d'un coup et j'ai l'impression d'être toute petite en face de lui – ce n'est pas qu'une impression d'ailleurs –. J'vois dans son regard qu'il est en colère après moi. Ce n'est pas comme si je n'avais pas l'habitude... Mais là il est plus furieux que d'habitude. Il m'attrape les bras d'un seul coup, et m'emmène jusqu'à sa chambre. Il me pousse un peu et j'atterris sur le dos, sur son lit. Il fait un pas et il se met sur moi. Je le déteste, il a pas le droit de faire ça. J'bouge les bras de façon à le faire dégager. C'est complètement inefficace. Merde. Il me bloque les mains, putain de merde quel enfoiré. Il vire ma jupe, après l'avoir déboutonné. « Lincoln, j'vais te tuer ! Si tu fais ça je te tue ! Lincoln putain ! » Je gueule, visiblement il m'entend pas. Non, lui il s'en tape. Il continue, non, mais les mecs de nos jours... Il défait ma chemise et il passe ses mains sur mes cuisses. Je tente de le dégager... inefficace. Il bloque de nouveau mes bras, avec ses mains au-dessus de ma tête. Fuck, j'aurais vraiment pas dû le gifler. On m'a souvent dit : réfléchis avant d'agir... ça m'a pas vraiment marqué je suppose. Il descend jusqu'en bas de mon ventre et heureusement pour moi il s'arrête là. Ma respiration va de plus en plus vite. Fait chier. Il sourit et se mord la lèvre inférieur, il est fier de lui, il m'énerve. Il m'énerve grave. J'vais le tuer. Il me fait remonter et il m'enlève ma chemise complètement. « La ferme. » C'est ce que je lui réponds. Il n'est pas au courant que je suis blonde ? Apparemment non. Il enlève doucement ma culotte... Bordel de crotte, je suis foutue. Vraiment foutue. C'est vraiment la crotte là... Je le hais. Je le déteste. Je peux pas le voir. Je vais le tuer. Fuck, je l'emmerde à ce con. J'enlève mon soutient-gorge, me demandez pas pourquoi... surement une pulsion que je ne peux pas contrôler là encore. Il enlève sa serviette et j'enroule mes jambes autour de sa taille. Quoi si je voulais pas de... putain. Il continue sa phrase. Mais fuck, je t'emmerde. Si j'suis venue c'est pas réellement pour toi. Mais pour te prévenir. Alors merde, crois pas que t'es le centre du monde, parce que c'est pas le cas. Il m'embrasse et je frisonne quand il pose ses mains sur mes jambes. J'espère qu'il a pas senti mon frisson, sinon il va être encore plus fier de lui... Il continue et ma respiration s'accélère et est largement moins régulière. « Ta gueule, Lincoln. » J'ai un peu de mal à parler, mais j'y suis quand même arrivé. Je lui dirai pas que je le hais, parce que c'est ce qu'il attend. Et comment peut-on prendre autant son pied avec la personne qu'on aime le moins sur Terre ? Ça devrait vraiment pas être permis. Je passe ma main dans son dos et je la remonte jusqu'à son cou pour attirer de nouveau son visage vers le mien. J'l'embrasse et j'me demande comment on en est arrivé là. Je vais tellement culpabiliser après avec Jamya. Je gémis et je me mords la lèvre inférieure. Je le déteste de me donner autant de plaisir, parce qu'après je vais encore plus le regretter... « Je te hais, abruti ! » bordel, j'ai pensé trop fort... Il va définitivement penser qu'il a gagné. J'veux pas qu'il pense qu'il a gagné, parce que j'pense qu'il me fera chier avec ça après. S'il le fait, je lui adresserai plus jamais la parole... mais vraiment plus jamais.
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