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Sujet: 'cause happiness throws a shower of sparks. ended Dim 20 Juin - 19:08
― adria habigaël brent-costantin .
made by poochenya
« L'invisible araignée de la mélancolie étend toujours sa toile grise sur les lieux où nous fûmes heureux et d'où le bonheur s'est enfui. »
« Le temps emporte tout qu'on le veuille ou non. Le temps efface tout et tout ce qui reste à la fin ce sont les ténèbres. Parfois au cour des ténèbres on retrouve d'autres personnes. Et parfois au cour des ténèbres on les perd à nouveau.» STEPHEN KING « Notre société est comme un bal masqué, chacun y cache sa véritable nature avec un masque.» ROBERT LOUIS STEVENSON « L'irrationalité d'une chose n'est pas un argument contre son existence, plutôt une condition d'être » FRIEDRICH NIETZCHE « La vie est une rose dont chaque pétale est une illusion et chaque épine une réalité. » ALFRED DE MUSSET « La vie, c'est comme une bicyclette, il faut avancer pour ne pas perdre l'équilibre. » ALBERT EINSTEIN « Quand vous voyagez à l'intérieur de vous-mêmes, les courants vous entraînent fatalement vers votre enfance et vous risquez fort de retrouver des souvenirs qui vous feront perdre le chemin du retour. » POULIN « Au fond, c'est ça la solitude : s'envelopper dans le cocon de son âme, se faire chrysalide et attendre la métamorphose, car elle arrive toujours. » AUGUST STRINDBERG « J’aime cette apparence ectoplasmique, je suis l’allégorie de ma propre déprime, l’incarnation du laisser-aller et du désespoir » LOLITA PILL « On dit que le temps guérit les blessures. Je ne suis pas d'accord. Les blessures restent. Avec le temps, l'esprit, pour se préserver, les recouvre de cicatrices, et la douleur diminue, mais elles ne partent jamais. » ROSE KENNEDY « Les pires sanglots répandus sur les tombes lebes le sont pour des mots non dits et des actes non faits. » HARRIET BEECHER « l'invisible araignée de la mélancolie étend toujours sa toile grise sur les lieux où nous fûmes heureux et d'où le bonheur s'est enfui. » - BOLESLAW PRUS « Ne prenez pas la vie au sérieux; de toute façon, vous n'en sortirez pas vivant. »
J'OBSERVAI LE MONDE. IL AVAIT L'AIR NORMAL.
La vie peut prendre parfois des tournures étranges. Les gens ont des rêves, les gens ont de l'espoir. Puis tout s'évapore et la réalité vous rattrape. Cette réalité qui vous tord les tripes à en vomir, un cauchemar éveillé pour ceux qui ne sont pas nés au bon endroit au bon moment. Pour ceux qui n'ont simplement pas de chance. Pour Adria Habigaël Vrent-Costantin, la vie n'a pas toujours été une partie de plaisir. Ce n'est pas un conte de fée, même si l'histoire commence également par « il était une fois ». Mais il ne faut pas vous attendre à y rencontrer des princes et des farfadets. Sauf peut-être dans vos rêves les plus fous...
« Qu'est qu'on va faire de toi, petite princesse? » La princesse, c'était moi. Je n'étais guère plus lourde qu'un tas de plume lorsque ces paroles résonnèrent dans ma tête de nourrisson. A peine arrivée en ce monde que je me retrouvais rejetée de ma génitrice, entre des mains étrangères. Pourtant, j'étais bien. La plénitude m'accaparait toute entière et cette voix grave m'apaisait. Je ne trouvais à répondre que des gazouillements, et des sourires en veux tu en voilà. Que pouvais-je faire d'autre du haut de mes quatre mois d'existence? Je faisais mes débuts en ce monde qui allait se révéler un enfer. Du moins durant les six premières années de ma vie. J'allais faire connaissance avec la rudesse, la violence et l'indifférence. Autant de tâches noires sur ma peau duveteuse, sur sa blancheur nacrée. J'allais être marquée par la nature humaine comme l'on marque du bétail au fer rouge. Tant de vengeance pour la faute d'être venue au monde. La grande question qui se posait depuis quelques jours ne prenait que peu de place. Comme moi, en fait. Que va-t-on faire de cette petite? Je vous le demande. Quel avenir pouvait-on réserver à un poupon indésirable? Je ne savais que passer de main en main, attirer la compassion et la tendresse sur mon triste sort. Qu'est ce que les gens pouvaient faire de plus pour moi? A part se débarrasser de ma personne et m'envoyer dans un pensionnat. Ce qui me fut destiné.
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« Mademoiselle Adria, pouvez-vous répéter ce que je viens de dire? » Et voilà. Une fois de plus je venais de me faire remarquer par tant de timidité. N'était-ce pas malheureux de vouloir s'écraser, disparaître aux yeux du monde entier et de sans cesse se faire pistonner? Je luttais contre cette récurrente envie de pleurer, d'exprimer ma faiblesse haut et fort. Simplement pour espérer du répit, qu'on me laisse respirer. Mon cœur d'enfant de cinq ans n'arrivait plus à supporter la froideur coincée entre les murs du pensionnat, la rudesse des lits et la laideur des femmes qui s'occupaient de moi. Et des autres enfants. Quelque soit le visage sur lequel se posaient mes pupilles, j'y lisais de la peur. Et cette simple lecture suffisait à affoler mon corps. Je tremblais du matin au soir, ne réussissant à trouver le répit dans le sommeil. Le calme d'ordinaire apaisant me terrifiait, comme annonciateur d'une journée à venir plus difficile encore. Ma peau d'une blancheur nacrée avait perdu son éclat depuis bien longtemps. Je gisais dans les couloirs, terne et sans désir. Je ne réussissais qu'à effectuer les mêmes gestes quotidiens, qu'à me rendre aux mêmes endroits aux mêmes heures. La moindre chose qui sortait de l'ordinaire me prenait au dépourvu. Redoutant un quelconque piège, aucun son ne parvenait à sortir de ma gorge. C'est ce qui venait de se passer. D'habitude, je n'étais jamais interrogée ni interpelée sur quoique ce soit. Mais il avait fallu que nous tombions sur cette vieille peau pour que la panique me gagne à nouveau. J'étais incapable de faire le moindre geste. Je réussis néanmoins à secouer brièvement la tête de gauche à droite. Grave erreur. Le vautour m'étudia comme on regarde un tableau déplaisant. Les lèvres pincées et le regard de taupe s'approchèrent à moins que dix centimètres de mon visage. Brusquement. Ce fut plus fort que moi, je ne pus retenir le cri de peur qui éclata entre mes lèvres. Je ne voulais plus la voir, plus avoir à subir cette vision. Mes petites mains tentaient de l'éloigner, de me protéger contre ce monstre. Mais je ne fis qu'alimenter sa fureur. Quelques minutes plus tard je me retrouvais devant l'entrée du pensionnat, sous une pluie violente. Le vent, par rafale, me faisait tituber. Avec l'énergie du désespoir je frappais de mes poings fermés contre les portes closes. Durant deux heures je tentais le pardon, le repenti. Rien à faire.
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« Elle était allongée sur le bas côté de la route. Oui, seule. Je ne sais pas, j'ai cru qu'elle était morte, alors je me suis arrêté. Mais elle respirait, gémissait et tremblait. C'est pourquoi je vous ai appelé immédiatement. » J'étais à l'hôpital. Du moins était-ce ce que je pouvais réussir à remarquer entre mes paupières mi-closes. Un bip bip régulier s'élevait non loin de moi. J'étais au chaud. Et sans cette forte odeur de désinfectant, j'aurais presque pu me croire en sécurité. Devant l'inconnu, je m'agitais. Gémissais de légères plaintes apeurées. Presque instantanément, une main douce et réchauffée vint se loger contre mon front. Presque avec tendresse. Je m'apaisais. « Du calme, petite. Rien ne peut t'arriver à présent. Je suis là. » J'ignorais qui était ce je. Tout ce que je savais, c'est que ça faisait bien plus de quatre ans que l'on ne m'avait parler avec autant de gentillesse. J'en savourais le contact, l'effluve. J'inspirais à plein bonheur cette sensation nouvelle, toutefois méfiante. Je n'étais pas à l'abri d'une nouvelle catastrophe. Je paraissais faite pour ça. Du sur mesure. Le temps paraissait ne pas avoir de règle entre ces quatre murs d'une blancheur irréprochable. Je ne connaissais ni la ville, ni le jour, ni le mois, ni la durée de ma présence en ces lieux. J'avais reprit des forces. La légère teinte rosée de mes pommettes le prouvaient, ainsi que l'éclat de ma peau d'enfant. Je redevenais Adria, celle que j'avais toujours été. Plusieurs fois même, je me surpris à rire de bonne foie. Grâce à ce même homme qui m'avait recouru le soir de mon exil. Un abandon de plus. Ce jour-ci, il entra après avoir doucement frappé à la porte. J'étais conquise par ce petit geste. Il me laissait cette intimité qui m'avait tant fait défaut, m'accordait une importance dont j'avais plus que jamais besoin. Dans sa main gauche, une poche en plastique avec des lettres que je ne pouvais saisir. Mais je reconnus les dessins: une boulangerie. De l'autre, une autre poche sans indice quelconque. A pas précipités je vins me lover contre cette personne bienveillante. Il m'offrit le croissant que je dévorais à pleine dent, tandis qu'il mettait l'autre poche dans ma quenotte. La surprise qu'il put lire sur mon visage ne me fut d'aucune aide. Je décidais de partir à la rencontre cette intrigue. Ma main rencontra un tissu. Je sursautais. Un vêtement. De joie et de stupéfaction j'en laissais tomber ma viennoiserie. Une robe, et quelle robe! Blanche, éclatante comme les traits de mon visage. Adorablement taillée et décorée. Les larmes vinrent sans que je puisse les contrôler tandis que je me jetais à son cou, éperdue de bonheur et de reconnaissance. Il me serra un court instant contre lui, puis me remit sur pied. Tapant avec douceur le bout de mon nez de son index, il me prit dans ses bras. « Nous t'avons trouvé un foyer où tu pourras grandir. Tu auras une maman, un papa, et même un grand frère. Tu seras heureuse, je le sais. » De nouvelles larmes. Un abandon de plus, mais je décidais d'arrêter de les compter.
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« Julian chéri, voici Adria. » Je venais de faire six ans. Je regardais le petit garçon debout, face à moi. J'étais sortie de l'hôpital deux mois auparavant et avait fait une première rencontre avec mes nouveaux parents. Malgré ma réticence les premières heures, je m'étais avouée conquise. De la douceur, de la gentillesse et de l'attention. Etait-il possible que je sois réellement heureuse, cette fois-ci? Mais le tête à tête que je redoutais le plus était celui avec Julian. Celui qui serait désormais mon grand frère. Il avait sept ans, et je devais reconnaître le noir de jais de ses cheveux m'obnubilait. Semblable à celui de ses parents. Enfin. De mes parents. Nos parents. Je n'arrivais pas à croire que j'allais rentrer dans la vie de personnes nouvelles, une fois de plus. Mais, curieusement, cette perspective m'enchanta. De ce que j'avais pu voir du jardin et de la maison, l'endroit était parfait. Magnifique. Du luxe pour moi qui n'avait connu que la pauvresse. « Elle est blonde ! » Aussitôt le feu monta à mes joues, les rosissant. Je craignais de lui déplaire, de ne pas correspondre à l'idée de la petite sœur qu'il s'était faite. Je redoutais qu'il ne m'accepte pas et que l'enfer reprenne à nouveau. Mais sur son visage, je ne décelais aucune méchanceté. Seulement une surprise pure et innocente. Les muscles de mon corps se détendirent, et timidement mes lèvres s'étirèrent en un sourire. On était loin du colgate, mais depuis combien de temps n'avais-je pas souri ainsi? Il me prit la main avec une attention surprenante et m'emmena visiter la salle de jeux. Je peinais à trouver ma respiration aux côtés de ce garçon que je ne connaissais pas. Mais la gentillesse et la sincérité qu'il dégageait étaient-elles que je me laissais aller. Je l'acceptais comme il venait de m'accepter.
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Les années passaient, se succédaient. Toutes aussi douces les unes que les autres. J'en savourais le goût sucré et me laissais embarquer dans ce rythme délicat. Je grandissais. D'enfant je passais à une adolescente des plus normales à mon goût. Bien que les compliments se multipliaient au fur et à mesure que l'âge passait, je n'y accordais pas grande importance. De la politesse, rien de plus. Je n'aurais jamais pensé qu'avec Julian la vie serait aussi belle. Non seulement il s'était montré à la hauteur lors de notre rencontre, mais il avait également joué son rôle de grand frère avec sérieux. Il était irréprochable. Je le regardais comme on regarde un fantasme, un mirage. Une aurore boréale. Il était ce rayon de lumière qui illuminait mon quotidien, celui sur qui je savais que je pouvais compter. Réellement. Je tâchais de lui rendre la mise en me montrant douce, aimante, agréable. Bref, tout allait pour le mieux dans le meilleur des mondes. Mais à chaque éclaircie se cache un nuage. Noir d'orage. « Quoi ? » « Les enfants... c’est… » « Dis moi, qu’est-ce qu’il se passe ? » « C’est votre mère… elle… oh mon dieu. » Un gouffre s'ouvrit sous mes pieds. Je ne pus contenir le torrent de larmes qui noya mon cœur et mon visage. Mon aîné me serrait contre lui, j'enfouissais ma tête contre sa poitrine. Je tremblais de douleur et de peine. Je nageais dans un tourbillon violent qui ne cessait de m'entraîner vers le fond. Le reste de la journée qui suivit fut pathétique. Je rencontrais pour la première fois certains membres de la famille. Avaient-ils un jour existé? J'en doutais, mais acceptais les condoléances d'un bref signe de tête. Avais-je quelque chose à ajouter de plus? Non. Le repas fut un supplice. Je ne désirais qu'une chose, m'enfuir. Fuir ce monde inconnu, me cacher sous ses draps qui porteraient encore son odeur. Maman...
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« Julian, tu peux pas faire ça. » J'étais sidérée. Il n'avait pas le droit de me faire ça, il n'avait pas le droit de s'en aller! Que ferais-je sans lui à présent? Il avait été mon unique raison expliquant mon existence en ce monde ces derniers temps. Depuis le début, en fait. Une voix au fond de moi me soufflait que l'âge lui en donnait le droit, justement. Que plus rien ne le retenait ici maintenant que j'avais grandie. Qu'il avait rempli son devoir. Je ne pouvais toutefois ignorer le pincement de mon cœur, la crainte que son départ m'inspirait. « Ad', tout va bien se passer, je ne serais pas à l’autre bout du monde ! Et puis tu passeras me voir quand tu voudras, on mangera ensemble dans la semaine et on en parlera, je dois y aller maintenant. » Je l'espérais. Je croisais les doigts. Je ne voyais pas ma vie sans Julian. Comment aurais-je me passer de lui? Lui qui avait joué tous les rôles durant toutes ces années... J'eus l'impression de tourner dans un film. La musique triste du genre vanilla twilight de owl city, l'homme que j'aimais faisant sa valise. Moi, me retenant à grandes peines de ne pas verser des larmes. J'étais ridicule! Il avait le droit de s'émanciper, je ne pouvais pas jouer les égoïstes éternellement. Je n'avais déjà que trop retardé son départ. Qu'il y aille, qu'il fasse sa vie. De toute façon, je l'y rejoindrais bien plus tôt qu'il ne le pensait... « D’accord… mais t’as intérêt à m’appeler, et tous les jours ! » Dernière exigence féminine, mais purement compréhensible. Il me sourit et déposa un dernier baiser sur mon front. Je haïssais les adieus. Merde. Je le rassurais d'un sourire. Moi, faire des bêtises? Ciel que c'était mal me connaître! Faire des bêtises sans lui, quel intérêt? Je l'accompagnais jusqu'au portail, et le suivait des yeux jusqu'à ce que la polo blanche ne soit plus visible. Comme une mère regardant son enfant vivre sa vie, je souris légèrement. Ma décision était prise depuis longtemps. Là où irait Julian, je le rejoindrais. Où qu'il soit, et quoique ça puisse me coûter. Je le rejoindrais. Nous le rejoindrons, avec Kellan. Mon petit ami depuis près de six mois. Un ami, un frère pour notre famille. Le temps viendra où le sang sera à nouveau réuni. J'irais où tu iras.
patchupee
coraly - pour vous servir -, 18 ans et toutes ses dents. complètement gaga des rps et du flood - sisi! écris des histoires à ses heures perdues et fuie comme la peste photofiltre et photoshop. sera présente tous les jours pour votre plus grand bonheur, et espère se faire une place sur ce forum magnifique.
Dernière édition par Adria H. Brent-Costantin² le Dim 20 Juin - 22:48, édité 27 fois
Hermès O. Bradford
HERMES (...) J'ai le prénom d'une marque de gonzesse, et alors ?
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Sujet: Re: 'cause happiness throws a shower of sparks. ended Dim 20 Juin - 19:14
Whoooouuu Ashley Green ! Superbe avatar ! Bienvenue parmis nous c'est ton frère qui va être content
Adria H. Brent-Costantin²
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Sujet: Re: 'cause happiness throws a shower of sparks. ended Dim 20 Juin - 19:15
merci Hermès. k.swart est magnifique également
Hermès O. Bradford
HERMES (...) J'ai le prénom d'une marque de gonzesse, et alors ?
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Sujet: Re: 'cause happiness throws a shower of sparks. ended Dim 20 Juin - 19:24
Il nous faudra un lien vu que ton frère est mon sauveur xD
Adria H. Brent-Costantin²
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Sujet: Re: 'cause happiness throws a shower of sparks. ended Dim 20 Juin - 19:31
même pas besoin de me faire prier, c'est avec plaisir. *o*
Kaeden A. Reynolds Kaeden ▬There are many things that I would lik
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Sujet: Re: 'cause happiness throws a shower of sparks. ended Dim 20 Juin - 19:34
GREENE Bienvenue !
Hermès O. Bradford
HERMES (...) J'ai le prénom d'une marque de gonzesse, et alors ?
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Sujet: Re: 'cause happiness throws a shower of sparks. ended Dim 20 Juin - 19:35
J'ai déjà une idée XD Grande folle que je suis xD
Adria H. Brent-Costantin²
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Sujet: Re: 'cause happiness throws a shower of sparks. ended Dim 20 Juin - 19:40
jamiee mercii
il me tarde de savoir.
Invité Invité
Sujet: Re: 'cause happiness throws a shower of sparks. ended Dim 20 Juin - 19:42
Ahah Ashley G. (l) Bienvenue à toi. (:
Adria H. Brent-Costantin²
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Sujet: Re: 'cause happiness throws a shower of sparks. ended Dim 20 Juin - 19:46
merci beaucoup Deirdre magnifique prénom en passant (l)
Skye-Jagger Davenport
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Sujet: Re: 'cause happiness throws a shower of sparks. ended Dim 20 Juin - 20:04
WELCOME
Adria H. Brent-Costantin²
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Sujet: Re: 'cause happiness throws a shower of sparks. ended Dim 20 Juin - 20:04
MERCI
Rusty-Elyae Booth
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Sujet: Re: 'cause happiness throws a shower of sparks. ended Lun 21 Juin - 0:30
GREENE Bienvenue :)
B. Zeppelyne Williams ZEPPELYNE ♣ J’aurai voulu te garder dans mes bras pour toujours...
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Sujet: Re: 'cause happiness throws a shower of sparks. ended Lun 21 Juin - 14:43
Bienvenue
Invité Invité
Sujet: Re: 'cause happiness throws a shower of sparks. ended Lun 21 Juin - 16:26
Désolé mais pour la validation je ne suis pas d'accord, il y a une autre Adria qui a commencé sa fiche, et d'ailleurs j'aurais aimé, tout comme Kellan, avoir mon mot à dire sur le choix de la fiche puisqu'il s'agissait de notre scénario...
Rusty-Elyae Booth
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Sujet: Re: 'cause happiness throws a shower of sparks. ended Lun 21 Juin - 16:41
dans le règlement, il est bien marqué que c'est la première fiche terminée qui l'emporte. navré. maintenant si vous tenez à choisir, j'imagine que ça peut se faire. j'attends l'avis de mes co.
Invité Invité
Sujet: Re: 'cause happiness throws a shower of sparks. ended Lun 21 Juin - 16:46
Certes, je suis d'accord lorsqu'il s'agit de deux personnages se disputant un avatar, mais dans ce cas précis il s'agit d'un scénario, je pense que nous pouvons donc choisir la fiche qui nous semble être la plus fidèle au personnage. J'attends donc des nouvelles.
Adria H. Brent-Costantin²
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Sujet: Re: 'cause happiness throws a shower of sparks. ended Lun 21 Juin - 19:11
merci à vous deux
je n'y vois pas d'inconvénient à ce que vous choisissiez la fiche que vous préférez. j'comprend tout à fait. ;)
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Sujet: Re: 'cause happiness throws a shower of sparks. ended
'cause happiness throws a shower of sparks. ended
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