SOMEWHERE ONLY WE KNOW. ♥
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.



 
AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
Le Deal du moment :
Cdiscount : -30€ dès 300€ ...
Voir le deal

 

 She could be you...

Aller en bas 
2 participants
AuteurMessage
Clyde Jerry McCalister

Clyde Jerry McCalister


- NICKNAME; : Flynne
- CREDITS; : Avatar : Chevalisse / Gif : CityLove
- PLAYLIST; : Here Without You - 3 Doors Down
CityLove
- MESSAGES; : 225
- YOU'RE ONE OF US UNTIL; : 16/06/2010

― SOMEWHERE ONLY WE KNOW ♦
- QUOTE ;: If I could turn back time, I'll go wherever you will go...
- YOUR GROUP ;: Slow Dancing in a Burning Room
- REALASIONSHIPS BOX ;:

She could be you... Empty
MessageSujet: She could be you...   She could be you... EmptyMer 7 Juil - 16:34


She could be you...



She could be you... 1euxd1 She could be you... Rtopiw
© Psychozee & Mimi


Il arriva devant la porte du Garage, coupa le moteur de sa moto et comme d'habitude, il se rendit dans le bureau pour poser son blouson, ses gants et son casque. Sauf qu'aujourd'hui, il y allait en ralant. Il avait passer une mauvaise journée la veille, une mauvaise soirée et par dessus tout, il n'avait pas fermé l'oeil de la nuit... Il s'était inquiété toute la nuit pour sa meilleure amie de colocataire qui n'était pas rentrée ! Et il avait vu ce matin en se levant le mot qu'elle avait laissé sur la table de la cuisine... En général lorsqu'il arrivait au garage, il retrouvait de l'entrain pour tavailler, ce casser la tête sur des problèmes mécaniques, pour faire ce qu'il aimait... Clyde allait se motiver au moment où il aperçut la note laissée par son patron.

Citation :
8h15 : On a appelé au garage pour un dépannage au niveau de la Connecticut River. J'ai du partir pour un rendez-vous, je te laisse l'affaire. Merci Clyde !

Il regarda l'heure : 8h35 et poussa un soupir. Il remercia mentalement son patron pour ce cadeau maudit ! Premièrement, il détestait les dépannages. Les gens étaient toujours de mauvaise humeur quand leur véhicule les laissait tomber sans prévenir (même si parfois, les signes étaient gros comme des maisons...), ensuite il n'aimait pas conduire la remorqueuse qui faisait un bruit de tracteur prévenant tout le village de son arriver et enfin pourquoi on avait appeler leur garage ? La rivière ne faisait même pas partie de Factory Village... Les gens ont parfois de drôle d'idées !
Il prit en soupirant de nouveau les clefs de la remorqueuse et se plaça derrière le volant. Il mit le contact. La bruit de la machine le fit sursauter sur son siège, il en sourit...

Le temps passait si lentement au volant de ce machin... Il voyait à peine les kilomètres défiler. Au moins, il aurait du temps pour réfléchir un peu. D'accord, mais réfléchir à quoi ? Sa vie n'était qu'une suite de désastres désastreux n'ayant aucun sens les uns par rapport aux autres. Il y a un an, la vie était tellement facile. Pourquoi cela avait-il changé ? Qu'est-ce-qui c'était passé pour que tout se mette à foirer autour de lui ? Les questions se posaient une à une dans son esprit et en trouvaient pas réponse.
En chemin, il croisa plusieurs familles. les enfants levaient vers lui de grands yeux admiratifs. En souvenirs de lui-même à cet âge là, il leur faisait un sourire. Il comprenait tellement ces gosses, il était le même à leur âge. S'il avait pu retourner en arrière, à ce moment précis, il l'aurait fait sans même réfléchir. Le passé ne pouvait qu'être mieux que le futur. Clyde savait qu'il agirait de manière bien différentes aux épreuves qui allaient lui être imposées...

Il aperçut enfin le panneau annonçant la bifurcation pour la rivière. Il soupira de soulagement ! Il allait devenir sourd avec le bruit que faisait la remorqueuse. Et encore, le retour serait bien pire : il faudrait alors tracter la voiture endommagée, ce qui demanderait plus de puissance à la machine et donc, plus de bruit... Il se mit alors à espérer qu'il pourrait facilement réparer la voiture pour qu'elle puisse repartir d'elle-même sans être amener au garage...
Clyde vit alors une voiture sur le bas côté et devint plus blanc qu'il ne l'était déjà ! Il n'y avait pas beaucoup de voitures comme ça à Colebrook et il la connaissait bien pour y avoir déjà fait pas mal de réparation. Pourquoi est-ce-que le sort s'acharnait ainsi sur lui ?!
Il coupa le contact, regarda l'heure : 8h... Il allait surement avoir à faire à un dragon ce matin. Il respira une dernière fois, ouvrit la portière et sorti, les traits du visage plus que fermé...
Revenir en haut Aller en bas
Charlie F. Beckett

Charlie F. Beckett


- NICKNAME; : Kebeo
- CREDITS; : Kebeo
- MESSAGES; : 143
- YOU'RE ONE OF US UNTIL; : 20/06/2010

― SOMEWHERE ONLY WE KNOW ♦
- QUOTE ;:
- YOUR GROUP ;: sex on fire
- REALASIONSHIPS BOX ;:

She could be you... Empty
MessageSujet: Re: She could be you...   She could be you... EmptyMer 7 Juil - 17:46

She could be you... IanSomerhalder She could be you... 1210
made by Eden Memories et Dévotion



Let's go chasing rainbows in the sky
It's my invitation
Let's all take a trip on my ecstasy


“I'm Mr. Bad Guy
Yes I'm everybody's Mr. Bad Guy
Can't you see I'm Mr. Mercuryyyyyyyyyyyyyy”


Quand j’avais 5 ans, je voulais épouser Freddy Mercury. Pour des raisons évidente, j’avais du mettre fin à mon rêve de devenir Mme Mercury et d’assister à tous les concerts de Queen que je voulais. Et d’être riche. Très riche.
Mais malgré cette « trahison » de mon idole, j’étais resté fidèle au groupe, et tous les ans, lors de la date d’anniversaire de mon ex-futur époux, je me passais l’intégrale de Queen. Et dès que je le pouvais, je m’écoutais un bon morceau.
Aujourd’hui, c’était du Mr Bad Guy à m’en crever les tympans et à hurler à en réveiller tous le quartier. Oui, parce que j’étais réaliste, là, ce n’était pas du chant, non. C’était plutôt un massacre.
Si tu m’entends Freddy, sache que ce n’est pas vraiment intentionnel. Tout le monde ne peut pas couvrir autant d’octaves que toi.

Your big daddy's got no place to stay
Bad communication
I feel like the president of the USA


Un glouglou guttural vint rompre le charme de la chanson. Un soupçon de panique m’envahit.

« Non, non, t’as pas le droit de me lâcher, pas maintenant, espèce de sale grognasse ! »

Le bruit se fit plus insistant.

« Non, je… Ce n’est pas ce que je voulais dire, tu sais que je t’aime plus que tout, tu es la prunelle de mes yeux, tu … »

Qu’importe mes lamentations incessantes. Dans un dernier effort digne de la plus grande héroïne de tragédie grecque, la Camaro poussa un soupir à fendre l’âme et s’arrêta net.

« NOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOON !
C’est pas vrai ! Dis-moi que c’est pas vrai sale bagnole susceptible ! »
J’essayais de la redémarrer, en vain.

« Tu vas voir, si tu redémarres pas immédiatement, je t’envoi direct à la casse ! »

Ce qui n’eut pas l’air de l’inquiéter le moins du monde. Oui, je parle à ma voiture, et alors ? J’en suis complètement gaga, et c’est sûrement pour cette raison que je ne m’en suis pas débarrassé, malgré le nombre de fois où j’ai du l’emmener à réparer dernièrement.
Je sortis en fulminant, pestant contre « cette vieille carcasse qui me servait de voiture » et ouvrit le capot. Ce qui était une très mauvaise idée puisqu’une volute de fumée en sortie. Malheureusement pour moi, ça avait l’air d’être sérieux. Angoissée, je jetais un regard sur ma montre. 8h15. Dans moins d’une heure, je devais me rendre dans la ville voisine pour remettre des planches de dessins pour la réédition d’un célèbre livre pour enfants. L’équation était simple : pas de rendez-vous, pas de remise des planches. Pas de remises des planches, pas de job. Et pas de job, pas de sous. Je refermai le capot d’un coup rageur.
Pourquoi aujourd’hui ? Pourquoi le jour où je n’avais absolument pas besoin de cette tuile ?
Je pris mon portable et téléphona au garage (dont le numéro était bizarrement enregistré dans mes contacts).

« Allo ? Oui, bonjour, désolée de vous déranger aussi tôt mais ma voiture vient de me lâcher… Oui, je suis euh… »

Je jetais un regard autour de moi.

« Connecticut Rivier… Vous pouvez venir maintenant ?... Non ? Mais est ce que vous pouvez m’envoyer quelqu’un avant 9h ?... Oui ? Merci, vous me sauvez la vie ! Au revoir »

Je raccrochais en espérant que la personne qui viendrait s’occuper de moi ne tarderait pas trop. J’attendis une demi-heure avant d’apercevoir la dépanneuse. Et celui qui la conduisait.
Oh génial, manquait plus que ça. J’avais vraiment besoin de ça en plus. En soupirant, je regardais Clyde McCalister descendre, les traits tendus. Je ne savais pas ce que je lui avais fait, mais à chaque fois que je le croisais, j’avais l’impression qu’il allait me tuer sur place. Etait-ce parce qu’il pensait qu’une femme n’avait rien à faire au volant d’une Camaro 68 ? Que c’était de ma faute si ma voiture n’avait que des pets en ce moment ?
Le pire dans tout ça, c’est qu’il était vraiment canon. C’était le genre de mec que je voyais très bien dans mon lit. Même si pour le moment, il m’énervait grandement.
Mais bon, là, maintenant, tout de suite, j’avais besoin de lui.

« Bonjour. Merci d’être venu aussi… vite. Elle m’a brusquement lâché, je vais commencer à croire que je porte la poisse »

J’eu un rire jaune. Ouais. La poisse. Voilà ce que j’avais.


Spoiler:
Revenir en haut Aller en bas
Clyde Jerry McCalister

Clyde Jerry McCalister


- NICKNAME; : Flynne
- CREDITS; : Avatar : Chevalisse / Gif : CityLove
- PLAYLIST; : Here Without You - 3 Doors Down
CityLove
- MESSAGES; : 225
- YOU'RE ONE OF US UNTIL; : 16/06/2010

― SOMEWHERE ONLY WE KNOW ♦
- QUOTE ;: If I could turn back time, I'll go wherever you will go...
- YOUR GROUP ;: Slow Dancing in a Burning Room
- REALASIONSHIPS BOX ;:

She could be you... Empty
MessageSujet: Re: She could be you...   She could be you... EmptyVen 16 Juil - 1:13

C'est fou ce sentiment qui le saisissait à chaque fois qu'il la voyait. Elle lui ressemblait tellement... Les mêmes yeux rieurs, le même sourire, les même cheveux noirs et s'en était ainsi pour chaque partie de son corps (du moins, celles qu'il avait vu...).
Il la tenait pour responsable de raviver sa souffrance à chaque fois qu'elle croisait son chemin. Et le pire dans l'histoire ? C'est qu'elle était plus vieille que lui et donc, elle ne pouvait pas être sa soeur. Après tout, il existe bien des histoires tordues ou les morts ne sont en réalité pas mort... Et bien, il aurait pu croire à cela si Charlie Bennett avait eu quelques années en moins. Il faut avouer qu'il aurait bien aimer. Sauf que si sa soeur s'était faite passer pour morte, elle ne serait surement pas revenue à Colebrook comme une fleur, au volant d'une vieille Camaro 68 rouge...
S'il adorait littéralement cette voiture, il ce n'était pas vraiment la même chose avec la propriétaire. Déjà, il était jaloux qu'elle puisse posséder un tel véhicule et aurait aimé savoir comment elle l'avait eu. Seulement, il n'avait encore jamais poser la question. Il le ferait pour meubler un peu pendant qu'il tenterait quelque chose. Ensuite, de la voir si vivante lui déchirait le coeur et enfin, il faisait tout les efforts du monde pour ne pas trop entrer dans son jeu. Les réputations ne sont ps longues à se faire dans cette petite ville. Clyde connaissait celle de Bennett avant même de la rencontrer.

Il devait avouer que leur première rencontre n'était pas vraiment du au hasard. Il savait qu'elle essayait presque tout les lits de la ville et ce soir-là, le jeune homme avait besoin de tendresse, il n'avait eu qu'à se rendre dans le bar où elle travaillait en espérant qu'elle soit de service. Ce fut le cas et il fut sous le choc en la voyant. Leurs regards se croisèrent quand il s'installa au comptoir, il faillit rater son siège tellement il était sous le choc. Clyde en fut assez retourner pour oublier la première raison qui l'avait fait sortir ce soir-là et puis, de toute façon, cette idée lui était totalement sortie de la tête ! Il n'était absolument pas question qu'il couche avec cette femme. Elle ressemblait tellement à Evy qu'il aurait eu l'impression d'avoir sa propre soeur dans son lit et cette perspective ne lui plaisait pas tellement...
Depuis, les choses avaient changé. Hopeless était de retour, rien n'allait plus avec Jackie, coucher à droite, à gauche n'était pas sa priorité. Il ne lui céderait rien, il en était persuadé. Sauf que Clyde devait faire attention, on peut facilement le changer d'avis...

Revenons à notre instant tragique. Il s'approcha de Charlie « Je t'en pris ! ». Le ton qu'il avait employé n'allait pas du tout avec la formule de politesse mais qu'importe, elle restait une cliente, il se devait d'être polie. Il posa sa mallette à outils et s'avança vers la voiture en se tournant vers la jeune femme. « Alors, racontes moi un peu ce qui vient de lui arriver ? Tu as une idée de ce qui l'a mise dans cet état ? » Il savait qu'elle répondrait non, puisse que si elle avait su, elle ne l'aurait pas appeler mais il faut demander leur avis aux gens. Même s'ils ne comprennent rien, ils se sentent plus impliqué de cette façon. « Et je peux te demander de m'ouvrir le capot s'il te plait ? » Pour ça aussi, il aurait pu se débrouiller tout seul mais comme lui répéter sans arrêt son patron, il fallait faire participer le client, qu'il ne se sente pas délaisser sur le côté de la route.
Il finit par lui faire un mince sourire, comme pour lui signifier qu'elle n'avait de toute façon pas trop le choix si elle voulait qu'il fasse quelque chose à sa voiture...
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé





She could be you... Empty
MessageSujet: Re: She could be you...   She could be you... Empty

Revenir en haut Aller en bas
 
She could be you...
Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
SOMEWHERE ONLY WE KNOW. ♥ :: UPPER KIDDERVILLE :: « Connecticut river-
Sauter vers:  
PROPRIÉTÉ DE DREAMER, PEACE♣FROG, SOW. ET PROM QUEEN.♥ Optimisé sous Mozilla Firefox.
Créer un forum | ©phpBB | Forum gratuit d'entraide | Signaler un abus | Forum gratuit