We were kids then. We shouldn't think about the rest.

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« three words, eight letters. say it, and I'm yours. »

OUR LIFE BEGINS TO END THE DAY WE BECOME SILENT ABOUT THE THINGS THAT MATTER; je n'aime pas imposer d'histoire, c'est libre tant que vous respectez la relation. (:

WITHOUT ANY FRIENDS, NO ONE WILL REMEMBER US, CAUSE NO ONE WILL BE THERE TO TALK ABOUT THE GOOD THINGS WE'VE DONE;La première fille pour qui il ait ressentit un semblant de quelque chose. Un jour, elle est arrivée à Colebrook. Il fût directement intrigué par la belle blonde. Tout d'abord, parce qu'elle était belle. L'une de plus jolies fille qu'il ait vu. Ensuite, ça faisait du nouveau. En effet, Colebrook est une petite ville et il connaissait toutes les filles depuis le jardin d'enfants. C'est pourquoi il l'aborda. Un espèce de jeu c'était installé entre les deux adolescent. Elle adorait le faire tourner un bourrique. Un soir, elle était chaleureuse, chaude. Ils flirtaient, et au moment de passer à l'acte elle s'en allait. Le lendemain elle le traitait en parfait inconnu. Et ce petit manège recommençait encore et encore. Cela aurait été quiconque d'autre il se serait rapidement désintéressé et serait passé à autre chose. Mais avec elle, il en était incapable. Elle le captivait. Chaque fois, il avait l'espoir qu'il pourrait l'avoir et chaque fois elle s'en allait une fois qu'ils étaient en sous-vêtements avec ce sourire indescriptible de vainqueur. Il n'a jamais compris pourquoi elle faisait ça et il se disait qu'il ne comprendrait jamais. Cette fille était un vrai mystère et c'était sans doute l'une des raisons pour lesquelles il était aussi accroc. Il aurait fait - je ne dirais pas n'importe quoi tout de même - beaucoup de choses qui elle lui demandait. C'est pourquoi quand elle eut l'idée d'un espèce de "cap ou pas cap" il ne s'y opposa pas. D'habitude, il trouvait ce genre de jeu idiots et se moquait ouvertement des gens qui le pratiquaient. Mais comme c'était elle, il joua le jeu. rapidement, leur nouveau jeu prit des ampleurs que personnes n'avaient soupçonner, pas même elle. Le but ? Faire souffrir l'autre. Ils "s'amusaient" à embrasser des gens quand ils savaient que l'autre se trouvaient dans les parages ou s'arrangeaient pour le mettre dans des situations humiliantes. Ce jeu ne leur plaisait pas. A l'un comme l'autre. Mais ils ne voulaient pas arrêter parce que ça serait avoir perdu la partie. Et c'était hors de question pour les deux. Et puis. Et puis l'adolescence s'est finit et il était temps de choisir une université. Il avait fait son choix. A l'automne, il partirait pour la Californie. « Cap ou pas cap de partir et de m'oublier ? » Elle était à califourchon sur lui et elle se pencha pour lui souffler ces mots à l'oreille, aussi sensuellement qu'elle pouvait. Pour être sensuelle, elle l'était. Elle était parfaitement conscience de l'attraction qu'elle exerçait sur lui, et le fait qu'elle s'était toujours refusée à lui y était pour quelque chose. Probablement qu'il ne comprendrait jamais ses raisons. C'était un gars après tout. C'était simple. Elle ne voulait pas finir comme toutes les autres filles, oubliée après une nuit, aussi torride soit-elle. Elle savait aussi que toute le jeu qu'ils jouaient depuis leur rencontre se termineraient dans les minutes qui suivent. Elle espérait qu'il refuserait, qu'il prononcerait ces mots qu'elle voulait entendre depuis le début. Et peut-être, à ce moment-là, elle se donnera à lui. Et là, elle aurait gagné le jeu. Et lui, il l'aurait gagnée, elle. Mais en croisant son regard, elle compris que ça n'allait pas se passer comme elle l'avait prévu. Elle sentait la défaite arriver. C'était comme si son monde s'écroulait tout d'un coup, qu'elle assistait à sa déchéance incapable de faire que que ce soit. Elle se leva d'un bond. Il essaya de lui prendre la main, elle le repoussa. « Trish... Tu sais que je ne refuse jamais un défi. » « Répond à ma question, je t'en prie. Cap ou pas cap ? » Il se leva et se trouvait maintenant juste devant elle. Il s'approcha comme pou déposer un baiser sur ses lèvres délicates, mais il ne le fit pas. Il se détourna sur son cou, et y prononça ce mot qu'elle redoutait tant. « Cap. » Il s'en alla. Et lle ne put retenir ses larmes plus longtemps.

« TRISH » • Les années qui suivirent, elle l'évita autant qu'elle pouvait. Il revenait en ville occasionnellement pour voir sa mère et elle s'arrangeait pour être absente ces jours-là. Toutes les rumeurs se rependent vite et les dates du retour du fils Booth n'étaient un secret pour personne. Mais quand il rentra après ses études, elle était en ville. De toutes façons, s'il revenait vivre ici il faudrait bien qu'elle le recroise tôt ou tard, même si elle préférait tard. Elle n'avait jamais réussit à l'oublier, malgré tous ses efforts. Elle était belle, l'une de plus jolies filles de la région, et elle le savait qui plus est. Des garçons, il y en avait des tas. Des plus intelligents, des plus doués. Mais aucun ne lui étaient comparable. C'était tout. Elle s'interdisait de penser à lui. Mais ce fut plus fort qu'elle quand elle le vit avec sa "pétasse" comme elle le disait. Elle se demandait comment il avait pu s'intéresser à cette fille. E quand elle a appris qu'ils s'étaient mariés, c'était comme si son coeur se brisait encore une fois. Qu'il aille au diable, lui et sa salope de femme.

« RUSTY » • En la voyant, il n'avait pas pu s'empêcher de se souvenir du bon vieux temps. Pendant toutes ses années, il avait fait son possible pour effacer son visage de sa mémoire, de sorte qu'il avait presque oublié ses traits. Il n'en fut que plus étonné en la revoyant. Elle était encore plus belle.