BLUEWENN ~ someone told me once to stand up and fight.

made by Shiya

«
Another day without you with me
Is like a blade that cuts right through me
But I can wait
I can wait forever
When you call my heart stops beating
When you're gone it wont stop bleeding
But I can wait
I can wait forever »

CHAPTER ONE ;

Je suis ce que je suis peu importe ce que vous pensez de moi. Je ne suis pas un ange loin de là. Je suis un être complexe difficile à cerner. On me connait ou on ne me connaît pas du tout. Ceux qui prétendent me connaître sont ceux qui font parti de ma vie depuis longtemps. Je suis Anastasia Bluewenn Lockart et j'ai 23 ans. Je suis née dans une famille qui est loin d’être modèle. Un père alcoolique, une mère souvent dépressive, voilà dans quelle ambiance j’ai grandi. Il faut avouer que c’était loin d’être le paradis. Je ne peut pas vous dire combien de fois j’ai vu mes parents se disputer, combien de fois j’ai vu mon père frappé ma mère, c’était atroce. Un soir, je devais avoir 14 ans, mon père est revenu tard le soir et il avait beaucoup trop bu, au point de menacer ma mère avec un couteau. Si je n’avais pas été là, je crois qu’il l’aurait tué. J’ai tant supplié ma mère de partir, de nous emmener loin d’ici ma soeur et moi mais elle n’a rien voulu entendre. Elle aimait mon père plus que tout. Elle ne voyait pas tout le mal qu’il lui apportait. J’ai donc compris qu’il fallait que je pense à moi et à ma soeur. J’aimais ma mère, mais si elle voulait s’affliger tout ce mal, c’était son choix, je ne pouvais rien y faire. Je me contentais donc de protéger ma petite soeur du mieux que je le pouvait. Elle était beaucoup plus vulnérable que moi et étant la personne qui comptait le plus pour moi je ne voulais que son bonheur. À l’adolescence, comme si c’était dans mes gênes, je commença à boire. C’était plus fort que moi. Mais jamais je n’ai commis des actes aussi dangereux que ce que mon père a fait. Lorsque j’eût atteint 18 ans, je quitta la maison familiale avec ma soeur. Je ne voulais plus être en contact avec mes parents qui avaient jusqu’à présent gâché ma vie. Je ne voulais pas sombrer dans l’alcool comme l’avait fait mon père ni être dépressive comme ma mère, ce pourquoi je décida de me reprendre en main. Malgré tout, je restais quand même un peu rebelle. Avec les gens que je ne connaissait pas, j’étais froide, méfiante, mystérieuse. Je m’étais forgé avec les années une carapace difficile à percer. Mais si on prenait le temps de me connaitre, on découvrait que j’étais sociable, attentionnée, drôle. Sauf que peu de personnes le faisaient vraiment. J’étais étiqueté comme quelqu’un qu’ont ne devrait pas approcher. J’ai appris à m’en ficher, à vivre avec. J’ai fait ma vie comme je l’entendais, sans avoir besoin de l’approbation de personnes.

CHAPTER TWO ;
«Rosy, tu fais quoi avec ta vie là ?»
«Je m‘amuse Liv‘. Je profite de la vie. Maman et papa ont assez gâchés notre vie comme ça.»
«Comment tu peut dire ça Rosy. Ils sont morts, morts tu comprends ? Il serait peut-être temps que tu arrêtes de leur en vouloir.»
«Et toi il serait peut-être temps que tu ouvres les yeux et que tu réalise ce qu‘ils nous ont fait vivre. Je n‘en peut plus de toujours faire comme si tout allait bien. Oui ça m‘attriste autant que toi la mort de papa et maman, mais je ne le vis pas de la même façon que toi. Laisse-moi respirer.»
«Si seulement tu m‘avais écoutée, tu aurais repris contact avec eux, ils ne seraient pas morts en étant en froid avec toi.»
«J‘en ai marre que tu me répète ça tous les jours, je le sais, j‘ai eu tort, mais il est trop tard donc lâche le morceau. Je sort ce soir, ne m‘attend surtout pas. »

Mes parents sont morts lorsque j’avais dix-neuf ans. Quand je suis partie de la maison familiale, j’ai coupé les ponts avec eux. Je voulais recommencer ma vie à neuf, même si ça signifiaient que je devais les éliminer de ma vie. Ma soeur évidemment ne pensais pas de la même façon que moi. Elle aurait bien voulu que je reprenne contact avec eux, mais elle n’a pas réussi à me convaincre. Malheureusement, mes parents ont eu un accident. Mon père avait tout prévu, j’en suis certaine, même si ma soeur prétend le contraire. L’alcool avait gâché sa vie et il voulait en finir, mais pas sans ma mère. Je les ai déjà entendu dire que s’ils devaient mourir, ils le feraient ensemble. Mon père a pris les paroles de ma mère au sérieux et ce qui devait arriver, arriva. J’avais essayer de reprendre ma vie en main et j’y arrivais tant bien que mal, mais ce fut l’évènement déclencheur. J’avais toujours eu une attirance vers l’alcool, les fêtes, les substances illicites, mais je la repoussais toujours. Mon deuil, on peut dire que je l’ai vécu dans la débauche. Ma soeur a cherché à m’aider comme je l’avais fait durant notre enfance, mais elle s’est rendue compte qu’elle ne pouvait rien faire pour moi et elle est partie. J’ai gâcher la si belle relation que j’avais avec ma soeur, ma seule famille, maintenant, je me sentais seule au monde. Mais aujourd'hui, j'ai décidé de reprendre ma vie en main et croyez-moi sur parole, je vais y arriver.

patchupee

Bonjour, bon je sais que c'est plutôt l'heure de dire bonsoir, mais je préfère dire bonjour alors autant vous y habituer maintenant. Je m'appelle Catherine ou heartbeat., je suis québécoise et fière de l'être. GO HABS GO (!) Ah non désolée, le hockey est terminé (je suis pas stupide à ce point quand même rassurez vous, les hawks on gagné la coupe je sais ^^ ), on a plus d'équipe à encourager =( enfin je parle pour moi. Bref, comme vous voyez, je n'ai rien d'intéressant à dire sur moi. Je travaille comme caissière dans un supermarché et je déteste ça. Je suis une fan de Simple Plan et je risque de vous le dire souvent, surtout dans la partie ''ce que j'écoute''. Sinon, je suis une no-life et je passe ma vie sur l'ordi donc je vais vous embêter souvent. J'essaie d'être drole mais je ne le suis pas et je n'aime pas faire des monologues donc je vais couper ça court. Et pour finir, je veut dire un petit coucou à Anais et Justine avec qui j'administre un forum aussi magnifique que celui-ci. J'ai pas pu résister à m'inscrire même si je devrais pas ces temps-ci (a)