Brenda Zeppelyne Williams

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« Je t’aime plus que ma propre vie... » jeux d'enfants

Mes parents se sont rencontré il y a longtemps, ils étaient alors au lycée… Mes parents sont juste l’exemple parfait de la parfaite histoire d’amour. J’avoue que je suis très heureuse que mes géniteurs s’entendent aussi bien. Je compte bien trouver l’amour, aimé un homme aussi fort que ma mère aime mon père. En tout cas je suis née de cet amour. Mon frère et moi sommes la preuve que malgré tout ce qu’ont vécu mes parents, ils ont réussit à vivre la vie qu’ils devaient avoir ensemble. J’avoue qu’au début… Ce n’était pas vraiment gagner, je n’ai jamais été la petite fille parfaite qu’on adore. Mes parents ont eu beaucoup à faire avec moi. J’ai pris beaucoup de temps à comprendre que mes parents n’étaient pas les ennemis mais plutôt ceux qui devaient m’aider. J’ai fais un bon nombre d’erreurs… Donc revenons sur ma vie…

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Mon enfance est passée très rapidement. Je suis née le quatorze février de l’année mille neuf cent quatre-vingt sept. Je n’étais d’ailleurs pas la seule, mon frère était aussi là, j’avoue que je n’ai jamais été très gentille avec lui, au départ, je l’ai toujours détesté, c’était le garçon, pour mes parents, deux jeunes personnes d’origine italienne, c’était le garçon le roi... J’avoue que je leur en ai toujours voulu. Mon frère a fini, je pense, par s’en rendre compte au final étant donné qu’il vient de reprendre contact avec moi… Dans tous les cas, j’étais une véritable peste, je le reconnais maintenant, je n’étais pas vraiment une petite fille avec qui j’aurais aimé trainer quand j’étais une petite. J’avais toujours une bêtise à faire. Une fois, je m’en souviens même, mon père était tellement en colère… Mes parents se disputaient pour la première fois devant moi… J’avoue que je n’ai pas tellement aimé. Ma mère n’était pas pour me punir j’avais 10 ans. Mon père voulait m’envoyer dans ma chambre et cela faisait une demi-heure qu’il répétait inlassablement « COMMENT VEUX-TU QU’ELLE APPRENNE SI ON NE LA LAISSE TRANQUILLE QUAND ELLE FAIT UNE BÊTISE ?! » Ils ne se sont plus parlé pendant une semaine et mon père m’a envoyé dans ma chambre à coup de pied aux fesses. Du coup je pense que j’ai arrêté de faire des bêtises à ce moment là… J’ai fini par me calmer… J’étais tout de même une calamité mais plus la petite peste qu’on avait pu connaitre avant…

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Il fallait trouver quelque chose qui me permette de ne plus penser à faire des bêtises… Ils ont pensé à la boxe… Oui vous avez bien lu la boxe… Ils pensaient que quand j’aurais pris quelques pins dans la poire, j’aurais fini par me calmer mais ça ne plaisait pas du tout à ma mère, du coup, j’ai commencé la musique. J’ai tout de suite adoré l’idée. Ma mère m’avait dit : « Bon Bren chérie, je te propose de faire de la musique, tu as le droit de choisir l’instrument de ton choix. » Je n’étais qu’une gamine, je ne savais pas ce que je faisais et je ne pensais pas que la musique prendrait autant de place dans ma vie… En tout cas, le lendemain ma mère remplissait les papiers et je commençais les cours la semaine suivante. Je découvris très vite que j’avais du talent, que j’avais ça dans le sang et que si j’arrêtais… Ce ne serait qu’un véritable gâchis… Je crois qu’à ce moment précis j’ai commencé à passer tout mon temps dans ma chambre pour avancer plus vite. J’adorais être la meilleure, être celle qu’on applaudit le plus aux spectacles de fin d’année parce que j’avais fais la plus grande impression. En tout cas, j’étais heureuse avec ça. Tellement heureuse qu’à 17 ans… Je ne pensais déjà plus à mes études…

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Et oui, l’école pour moi, ça s’est fini très tôt, j’étais sur le point de fêter mon 18ème anniversaire, une fête double étant donné que mon frère avait invité ses potes que je détestais tous d’ailleurs. Quand j’ai décidé de tout arrêté, c’est venu comme ça… Sans prévenir. Je me levais, un de ses nombreux matins où j’avais passé la nuit à travailler sur une composition comme d’habitude, j’étais très en retard. Ma mère tentait de me réveiller pour la troisième fois quand je daignais enfin ouvrir les yeux. J’avais la flemme tout simplement. Alors quand je suis arrivé en retard en cours encore une fois. Je n’étais pas vraiment une élève exemplaire mais mon prof m’a vraiment énervé quand je suis rentré dans la salle en frappant comme une bonne élève qui se respecte et qu’il m’a sorti un « Merci de nous honorer de votre présence mademoiselle Sanchez (mon nom de naissance), enfin si c’est pour dormir, autant rester chez vous. » Il avait dit ça alors que je préparais mes affaires sur ma table. J’ai alors tout rangé dans mon sac et j’ai ouvert la porte en ajoutant : « Adieu monsieur Molina, si vous voulez que je suive, essayez donc d’être moins monotone. » et je ne suis jamais revenue… La semaine d’après, ma mère découvrit que je n’allais plus en cours et je crois que je ne me suis jamais autant fait réprimander de ma vie…La fête pour l’anniversaire de mes 18 ans se déroula dans la joie et la bonne humeur malgré le fait que ma mère ne cessait de me regarder avec sa mine déçu… Elle voulait que je reprenne les cours mais je n’en pouvais plus, cela ne m’intéressait pas. J’étais déterminée à devenir riche et célèbre grâce à ma musique. Le soir de mon anniversaire changea tout simplement ma vie…

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J’étais désespéré. Malgré tout le cœur que j’y mettais, je n’arrivais tout simplement pas à m’amuser. Ma mère ne cessait de me lancer des regards de reproche. J’aurais préféré qu’elle ne soit pas là mais mon frère me connaissait avait préféré que quelqu’un reste pour me tenir tranquille… Il avait peur que sa sœur soit la plus cool sans doute, j’ai toujours eu un temps d’avance sur lui… Enfin bon… Je n’y arrivais pas, alors je suis sortie fumer une cigarette, fâcheuse habitude que j’avais prise à force de voir mes potes s’en fumer une entre chaque cours. En tout cas, j’étais très bien seule. Pour un mois de février, il faisait plutôt beau, j’avais de la chance étant donné que je ne portais qu’une chemise en coton et que je n’avais pas envie de rentré chercher ma veste. Alors un garçon est passé. Un jeune homme de trois ans mon ainé. Je le connaissais, il était la vedette chez toutes les filles de mon âge autour de moi… Malheureusement, je n’avais jamais été ce genre de fille. Je préférais amplement un garçon charmant et gentil qu’un athlète écervelé. « Hey ma belle, qu’est ce que tu fiches dehors, c’est la fête à l’intérieur non ? » J’avoue que j’étais plus choqué que contente qu’il me parle, dire que toutes mes amies attendaient ça depuis tellement longtemps… Moi, ça ne me touchait pas particulièrement, pendant une demi seconde j’étais tenté de rentré et ne pas lui répondre mais « Williams, il y en a qui on pas peur de sortir la nuit… Tu devrais rentrer chez toi, tes parents doivent s’inquiéter… » Il sourit, il rigolait limite, ce qui eu le don de me mettre hors de moi… « Ca m’étonnerais tu vois et en plus, ton frère m’a invité… » J’étais trop choqué pour comprendre là… Mon frère ne pouvait pas connaitre ce gars, parce qu’il était trop cool pour trainer avec un Sanchez. « Et comment tu connais mon frère ? » Il s’assit à côté de moi. « On est tout les deux au journal du lycée… Il est vraiment sympa, je l’aime bien… » C’était à moi de rire. « Bin écoute, ya bien que toi ici, personnellement je ne le trouve pas très intéressant. » Il paraissait franchement étonné. « Ah… Je pensais que vous étiez le genre, famille unis et tout le bordel… » Disons que c’était ce que tout le monde croyait en surface, je ne voulais pas que tout le monde pense que j’avais un truc contre mon frère, je n’avais rien de spécial à dire mais je ne l’aimais pas, il avait des manies que je ne supportais pas… « Si tu veux, je ne me montre pas à la fête et je t’amène boire un verre… » Je rêvais où il me draguait là ? « Arrête Williams, je ne suis pas ce genre de fille. » Il me souriait. « Je le sais Bren, je veux juste boire un verre avec toi, comme des amis… » Il se foutait de moi là ou quoi ? Je n’avais jamais entendu ce mec dire un truc intelligent de sa vie, pas que ça se sois particulièrement intelligent mais ce n’était pas non plus son habitude… C’est d’ailleurs à ce moment là que j’ai décidé qu’on ne m’appellerait plus par mon premier prénom. Pas que je n’aime pas Brenda mais cela faisait trop poupée Barbie et j’étais bien décidé à me faire une carrière dans la musique en tant que rockeuse. Plutôt dans la journée j’avais donc réfléchis à un nom de scène et je m’étais toujours dit que l’ancienne passion que mon vouait à Led Zeppelin me servirait un jour, il c’était battu avec ma chère mère pour pouvoir choisir le second prénom que je porterais, et j’ai hérité de Zeppelyne en second prénom. J’avais donc décidé que Zeppelyne serait parfait pour un nouveau début. « Pour toi, se sera Zeppelyne si tu veux bien… » Il sourit de plus belle. « Il faudra que tu m’expliques… » Il se leva et me tendis l’une de ses mains. « C’est d’accord ! » J’avoue que d’un seul coup j’avais oublié ma haine contre ce genre de garçon… Nous sommes allés boire notre verre. Deux semaines plus tard nous étions ensemble. J’étais tombé amoureuse de ce garçon malgré le fait que je n’étais pas totalement pour au début… Mais il n’était pas du tout ce que je pensais. Il était même adorable. J’ai fini par l’adorer. Ce fut comme un coup de foudre à retardement…

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Mes 21 ans venaient tout juste de passé, j’avais compris que la seule façon de devenir célèbre c’était de m’y mettre seule. Je m’étais déjà fais rembarré par une dizaine de maison de disque malgré le fait que je savais que ma maquette était géniale. Malheureusement, ce moment n’était pas vraiment le moment voulu… C’était un matin, j’habitais dans une énorme maison (une villa) avec Aaron Williams, oui j’étais passé d’un extrême à l’autre. Je ne pouvais pas l’encadrer et j’ai finalement emménagé avec lui deux ans après notre première discussion. Je venais tout juste de me réveiller. Aaron était dans la chambre, elle était vraiment très grande, enfin je la trouvais très grande, il avait toujours eu beaucoup de chance et avait inventé une petite connerie qui avait fait de lui un véritable homme d’affaire. Enfin il ne supportait pas qu’on l’appel toutes les deux secondes alors il avait changé de téléphone juste pour ça … Enfin bon, il était très agité et cela me surpris connaissant son tempérament calme… « Will (j’avais pris l’habitude de l’appelé par son nom), ça va ? » Il sursauta et se tourna vers moi. Il paraissait même carrément surpris de me voir. « Oh Zep, je t’ai réveillé ? » Tout le monde avait pris l’habitude de m’appelé ainsi. Même ma mère s’y était mise… Il s’approcha de moi, déposa un baiser sur mes lèvres et s’agenouilla à côté du lit. « Zep, tu ne peux pas savoir à quel point je t’aime. Je sais qu’on est jeune et que ta mère va sans doute me piquer une crise mais je t’aime trop et je veux passer toute ma vie avec toi jusqu’à la fin. » J’avais très peur de ce qui allait suivre… Je n’avais jamais assisté à ce genre de chose mais j’étais partagé entre la surprise et la peur… J’étais heureuse aussi mais cela était très confus dans ma petite tête… Il sortit alors de sa poche arrière un minuscule coffret qu’il ouvrit devant mes yeux. Sur un tout petit cousin se trouvait une magnifique bague de fiançailles. « Je voudrais qu’on se maris si tu es d’accord… » Deux mois plus tard, nous étions mari et femme, ma mère après avoir fait une crise à cause de du fait que j’étais sois disant trop jeune… Gna gna gna, enfin le discours de toutes les mères qui aime leur gendre mais qui ne veulent pas voir leur fille partir…

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Enfin bon, tout ça, ce n’était que le plat de résistance, ce n’était pas vraiment palpitant, des amourettes d’adolescente qui finissent en mariage… Enfin bon, ma vie à totalement changer quand un matin alors que Aaron était parti à Hong-Kong promouvoir son machin dont je ne me rappelais jamais le nom… Mon téléphone sonnait depuis plus de dix minutes. Je pensais que la personne qui tentait de me joindre allait finir par se lasser mais non alors j’ai enfin répondu. « QUOI ?! » J’avoue que ce n’était pas vraiment poli de ma part de parler ainsi à quelqu’un que je ne connaissais probablement pas… « Madame Williams ? » Je commençais à flipper d’un seul coup, j’avais un très mauvais pressentiment, je me redressais dans mon lit… « Oui ? » « Je suis dans le regret de vous annoncer que votre mari viens de périr lors d’un accident dont a été victime l’avion qui le ramenait aux Etats-Unis … » J’avoue que j’ai faillis crier tellement j’ai reçu ça en plein cœur… Je ne pouvais pas le croire… Aaron ne pouvait pas être mort, Aaron était ma vie… Sans lui je n’étais rien… Deux semaines après sa mort, je n’arrivais d’ailleurs toujours pas à réalisé… Je me retrouvais dans un cabinet de notaire… Je n’avais aucune envie d’entendre que je ne garderais rien de mon amour parce que ses parents ne pouvaient pas me supporter… Toutefois… Alors que les parents pensaient tout comme moi que tout serait réglé d’un coup et qu’ils auraient le tas d’argent qu’Aaron laissait derrière lui… Le notaire commença à parler… « Aaron est venu me voir il y a trois ans de cela, alors que son produit est sortit sur le marché il a voulu faire son testament. Personnellement je ne pensais pas cela nécessaire, votre fils était en bonne santé, je le connaissais depuis très longtemps déjà pour avoir suivit votre propre dossier mais il a tenu à légué tout la fortune qu’il aurait à sa mort à sa femme et à ses enfants. Femme et enfants qu’il n’avait pas encore à ce moment. Toutefois. Brenda étant maintenant sa femme aux yeux de la loi, elle devient l’unique bénéficiaire de la fortune d’Aaron Williams… » Les parents d’Aaron n’en croyaient pas leurs oreilles. Personnellement je n’étais pas plus heureuse… Aaron n’était plus là… Je pouvais garder la villa et l’argent mais il manquait Aaron…

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Aujourd’hui, je suis toujours la même, j’habite dans une énorme villa toute seule, je n’ai toujours pas percé dans la musique, je recherche donc un emploi dans l’espoir de ne pas dilapidé la fortune d’Aaron. Je viens de rencontré un jeune homme, je le connais depuis peu de temps mais il me fait réellement penser à Aaron… Je n’arrive pas à l’oublier, et je n’ai pas envie de tourner la page… Je viens de reprendre contact avec mon frère que je n’avais pas revu depuis mon mariage qui date tout de même d’un an… En tout cas, j’espère que malgré la mort d’Aaron, je pourrais reprendre une vie normale…

patchupee

Moi, c'est Crazy Pamplemousse, j'ai eu 17 ans il y a un peu plus d'un mois. J'aime le chocolat !! Bin ouais vous vous en fichez mais bon, c'est bon de le savoir quand même... Je déteste, je hais, enfin je ne supporte pas les insectes en tout genre, les œufs et les coups de soleil (j'en ai un énorme sur l'épaule gauche et ça fait un mal de chien !!). Si vous voulez tout savoir j'ai un poisson, et je l'aime foooooort et puis si je prends Taylor Momsen en avatar c'est que je l'aime trop trop trop J'ai beaucoup hésité entre elle et Ashley Greene mais voilààà c'est Tay' qu'à gagner Aaaah et j'adore, j'aime, je voue un véritable culte à Glee Enfin bon ciaoo les cocos